20.000, c’est le montant des exportations chinoises de véhicules et de châssis issus du Maroc au cours des 12 mois précédant mai 2025. Elles n’étaient que de 3.000 unités en 2023.
Le Maroc est sur le point de dépasser l’Italie en termes de volume de production automobile. D’après un rapport du journal espagnol elEconomista, le Royaume profite d’une augmentation tangible des investissements dans le secteur, devenu un des deux piliers essentiels de la croissance marocaine, au côté du tourisme.
En 2025, le pays devrait connaître une croissance de 4,3 %, un taux qui, selon toute vraisemblance, sera au moins maintenu en 2026 et 2027. Selon le rapport, l’industrie automobile reste un levier majeur pour encourager l’emploi au Maroc.
Plusieurs variables viennent soutenir la compétitivité du Royaume : sa stabilité économique et politique, le coût modéré de sa main d’œuvre ainsi qu’une position géographique de carrefour méditerranéen, à quelques encablures de l’Europe.
Au premier semestre 2025, selon les données du ministère de l’Industrie et du Commerce, relayées par elEconomista, la production automobile a dépassé 350.000 unités, en hausse de 36% par rapport à l’année précédente.
D’après les chiffres del’Organisation Internationale des Constructeurs Automobiles (OICA), le Maroc a connu une ascension record, passant de 40.000 véhicules produits en 2010 à 559.645 unités en 2024, se hissant au 25ème rang mondial et devançant des pays européens comme la Pologne et la Hongrie.
Dans le même temps, l’Italie a atteint 591.067 unités en 2024, et devrait être dépassée cette année. Le Maroc est ainsi devenu un acteur incontournable de l’industrie automobile en Afrique et dans le monde.
Ses partenariats clé avec Renault et Stellantis ont permis de développer des usines à Tanger et Kénitra rivalisant avec les standards internationaux. En parallèle, le Maroc attire des entreprises spécialisées dans la fabrication de composants de véhicules électriques, notamment chinoises.
En 2025, le pays devrait connaître une croissance de 4,3 %, un taux qui, selon toute vraisemblance, sera au moins maintenu en 2026 et 2027. Selon le rapport, l’industrie automobile reste un levier majeur pour encourager l’emploi au Maroc.
Plusieurs variables viennent soutenir la compétitivité du Royaume : sa stabilité économique et politique, le coût modéré de sa main d’œuvre ainsi qu’une position géographique de carrefour méditerranéen, à quelques encablures de l’Europe.
Au premier semestre 2025, selon les données du ministère de l’Industrie et du Commerce, relayées par elEconomista, la production automobile a dépassé 350.000 unités, en hausse de 36% par rapport à l’année précédente.
D’après les chiffres del’Organisation Internationale des Constructeurs Automobiles (OICA), le Maroc a connu une ascension record, passant de 40.000 véhicules produits en 2010 à 559.645 unités en 2024, se hissant au 25ème rang mondial et devançant des pays européens comme la Pologne et la Hongrie.
Dans le même temps, l’Italie a atteint 591.067 unités en 2024, et devrait être dépassée cette année. Le Maroc est ainsi devenu un acteur incontournable de l’industrie automobile en Afrique et dans le monde.
Ses partenariats clé avec Renault et Stellantis ont permis de développer des usines à Tanger et Kénitra rivalisant avec les standards internationaux. En parallèle, le Maroc attire des entreprises spécialisées dans la fabrication de composants de véhicules électriques, notamment chinoises.
