Alors que le prix de la viande rouge atteint des sommets, celui du lait reste étonnamment stable. Une stabilité apparente qui cache des fragilités inquiétantes pour les éleveurs marocains.
Entre hausse des coûts d’alimentation, importation de poudre de lait, baisse du nombre du cheptel de 30% et rentabilité limitée du lait pasteurisé et UHT, la filière laitière est à risque. Petits producteurs, coopératives et industriels peinent à retrouver un équilibre durable, malgré les mesures de soutien du gouvernement et de la Fédération Maroc Lait. Les professionnels appellent à un accompagnement plus avancé pour sécuriser la production locale.
Entre hausse des coûts d’alimentation, importation de poudre de lait, baisse du nombre du cheptel de 30% et rentabilité limitée du lait pasteurisé et UHT, la filière laitière est à risque. Petits producteurs, coopératives et industriels peinent à retrouver un équilibre durable, malgré les mesures de soutien du gouvernement et de la Fédération Maroc Lait. Les professionnels appellent à un accompagnement plus avancé pour sécuriser la production locale.
Trouvez l'intégralité de l'article dans notre édition du Mercredi 3 Septembre 2025, disponible en kiosque.