À l’horizon 2050, le Maroc devra mobiliser près de 78 milliards de dollars d’investissements pour relever les défis liés au changement climatique. Cette somme colossale, équivalente à environ 60 % du PIB national, représente le coût indispensable pour réussir une transition verte à la hauteur des enjeux environnementaux, économiques et sociaux. Ce virage majeur implique un redressement structurel de la politique monétaire du Royaume, qui dès 2016 avait déjà tracé la voie vers un verdissement financier. Si le soutien à la Transition Energétique et Ecologique (TEE) apparaît aujourd’hui comme un levier essentiel de développement et surtout de coopération internationale, il doit néanmoins s’inscrire dans le cadre strict de la stabilité monétaire et financière. Décryptage.
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