Les deux Chambres du Parlement se sont réunies, lundi 3 novembre 2025, pour débattre de la nouvelle résolution adoptée par le Conseil de sécurité des Nations unies sur le Sahara marocain. Les représentants des partis de la majorité ont qualifié cette décision d’« événement historique » et de « fruit d’un long processus de stabilité politique et diplomatique ».
Les interventions ont souligné la portée symbolique du 31 octobre, date d’adoption du texte, assimilée à une « nouvelle Marche verte » qui, un demi-siècle après l’épopée de 1975, consacre la victoire du droit et de la légitimité. Pour les parlementaires, ce moment marque la reconnaissance internationale de la dynamique marocaine autour de son intégrité territoriale, mais aussi le triomphe d’une diplomatie fondée sur la constance, la sérénité et la crédibilité.
Au nom de la Chambre des conseillers, Mohamed Oueld Errachid a replacé cette avancée dans un cadre plus large : celui de la refondation des relations maghrébines. « Ce n’est pas une victoire sur quiconque, a-t-il affirmé, mais un pas vers un nouvel ordre régional porté par la coopération et la confiance. Le Maroc ne bâtit pas sa gloire sur la faiblesse de ses voisins, mais sur la force de la justice et de la vérité. »
Le président de la deuxième Chambre a insisté sur la dimension prospective du texte onusien, qui, selon lui, « ouvre la voie à une ère de stabilité partagée » dans un espace maghrébin longtemps fragmenté. Dans son intervention, il a rappelé que la vision royale avait fait de la région du Sud « un pont stratégique vers l’Afrique », symbole d’ouverture et non de division.
Oueld Errachid a également salué la diplomatie parlementaire marocaine, jugée décisive dans l’évolution du dossier. « Ce succès n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un travail de fond, mené dans la discrétion et la cohérence », a-t-il déclaré, rendant hommage à l’action collective des institutions nationales, en parfaite symbiose avec les orientations du souverain.
Les interventions ont souligné la portée symbolique du 31 octobre, date d’adoption du texte, assimilée à une « nouvelle Marche verte » qui, un demi-siècle après l’épopée de 1975, consacre la victoire du droit et de la légitimité. Pour les parlementaires, ce moment marque la reconnaissance internationale de la dynamique marocaine autour de son intégrité territoriale, mais aussi le triomphe d’une diplomatie fondée sur la constance, la sérénité et la crédibilité.
Au nom de la Chambre des conseillers, Mohamed Oueld Errachid a replacé cette avancée dans un cadre plus large : celui de la refondation des relations maghrébines. « Ce n’est pas une victoire sur quiconque, a-t-il affirmé, mais un pas vers un nouvel ordre régional porté par la coopération et la confiance. Le Maroc ne bâtit pas sa gloire sur la faiblesse de ses voisins, mais sur la force de la justice et de la vérité. »
Le président de la deuxième Chambre a insisté sur la dimension prospective du texte onusien, qui, selon lui, « ouvre la voie à une ère de stabilité partagée » dans un espace maghrébin longtemps fragmenté. Dans son intervention, il a rappelé que la vision royale avait fait de la région du Sud « un pont stratégique vers l’Afrique », symbole d’ouverture et non de division.
Oueld Errachid a également salué la diplomatie parlementaire marocaine, jugée décisive dans l’évolution du dossier. « Ce succès n’est pas le fruit du hasard, mais le résultat d’un travail de fond, mené dans la discrétion et la cohérence », a-t-il déclaré, rendant hommage à l’action collective des institutions nationales, en parfaite symbiose avec les orientations du souverain.





















