Dans une intervention remarquée sur la chaîne américaine Newsmax, diffusée dans l’émission Saturday Report de la journaliste Rita Cosby, le représentant permanent du Maroc auprès des Nations unies, Omar Hilale, a livré une analyse approfondie des développements récents autour de la question du Sahara marocain. L’entretien, tenu à la suite de l’adoption de la nouvelle résolution du Conseil de sécurité, a été l’occasion pour le diplomate de rappeler la portée politique et symbolique d’un texte qui, selon lui, « confirme la légitimité historique et la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara ».
Omar Hilale a qualifié ce moment d’« unité nationale », fruit d’un long processus diplomatique conduit sous l’impulsion du roi Mohammed VI. « C’est le couronnement d’un trône, d’un roi et d’un peuple, le résultat de cinquante années d’efforts, de patience et de constance », a-t-il déclaré, en soulignant la fidélité séculaire des populations sahariennes à la monarchie marocaine. Le diplomate a également évoqué l’élan populaire qui a accompagné la récente prise de position du Conseil de sécurité, rappelant « l’immense joie des Marocains descendus dans les rues pour célébrer cette victoire diplomatique ».
Interrogé sur le rôle des États-Unis, Hilale a salué « le courage politique » du président Donald Trump, qu’il a décrit comme un acteur déterminant dans la consolidation de la position du Maroc. « L’histoire retiendra que le président Trump a été le premier dirigeant d’une grande puissance à reconnaître officiellement la souveraineté du Maroc sur le Sahara », a-t-il affirmé. Selon lui, cette reconnaissance, intervenue en décembre 2020, a mis fin à un statu quo prolongé au sein du Conseil de sécurité et ouvert la voie à « une nouvelle ère de réalisme et de consensus ».
Le diplomate a insisté sur la portée géopolitique de ce geste américain, qu’il a qualifié de « répétition de l’histoire ». « Le Maroc fut la première nation à reconnaître l’indépendance des États-Unis au XVIIIᵉ siècle ; aujourd’hui, les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc. Ce geste a une résonance symbolique profonde », a-t-il souligné.
Au-delà de la reconnaissance américaine, Omar Hilale a évoqué une évolution plus large du positionnement international autour du dossier. Selon lui, plusieurs capitales européennes — notamment Paris, Londres et Berlin — ont, depuis, exprimé leur soutien au plan d’autonomie marocain comme « unique base réaliste, pragmatique et durable pour une solution politique ». Cette dynamique diplomatique, a-t-il ajouté, consacre « la prééminence du Maroc dans la recherche d’un règlement pacifique conforme aux résolutions onusiennes ».
Regardant vers l’avenir, le représentant du Maroc à l’ONU a exprimé le souhait que cette avancée politique s’accompagne d’un rapprochement régional. « Nous espérons que le président Trump visitera le Sahara marocain, et que l’année prochaine sera celle de la réconciliation maghrébine », a-t-il déclaré. Le diplomate a rappelé que le Maghreb demeure « la région la moins intégrée du monde », conséquence directe d’un conflit prolongé qui entrave la coopération économique et la libre circulation des peuples.
Pour Hilale, la vision du roi Mohammed VI reste claire : « tendre la main, agir avec patience, et défendre avec fermeté l’intégrité territoriale ». Il a souligné que le souverain a toujours privilégié une approche fondée sur le dialogue et le développement, en témoigne l’essor économique et social que connaissent les provinces du Sud.
L’entretien s’est conclu sur une note d’optimisme. S’adressant à la journaliste américaine, Omar Hilale a lancé une invitation symbolique : « Venez voir le Sahara marocain. Vous y découvrirez un pays en mouvement, uni et fier, tourné vers l’avenir ».
Omar Hilale a qualifié ce moment d’« unité nationale », fruit d’un long processus diplomatique conduit sous l’impulsion du roi Mohammed VI. « C’est le couronnement d’un trône, d’un roi et d’un peuple, le résultat de cinquante années d’efforts, de patience et de constance », a-t-il déclaré, en soulignant la fidélité séculaire des populations sahariennes à la monarchie marocaine. Le diplomate a également évoqué l’élan populaire qui a accompagné la récente prise de position du Conseil de sécurité, rappelant « l’immense joie des Marocains descendus dans les rues pour célébrer cette victoire diplomatique ».
Interrogé sur le rôle des États-Unis, Hilale a salué « le courage politique » du président Donald Trump, qu’il a décrit comme un acteur déterminant dans la consolidation de la position du Maroc. « L’histoire retiendra que le président Trump a été le premier dirigeant d’une grande puissance à reconnaître officiellement la souveraineté du Maroc sur le Sahara », a-t-il affirmé. Selon lui, cette reconnaissance, intervenue en décembre 2020, a mis fin à un statu quo prolongé au sein du Conseil de sécurité et ouvert la voie à « une nouvelle ère de réalisme et de consensus ».
Le diplomate a insisté sur la portée géopolitique de ce geste américain, qu’il a qualifié de « répétition de l’histoire ». « Le Maroc fut la première nation à reconnaître l’indépendance des États-Unis au XVIIIᵉ siècle ; aujourd’hui, les États-Unis reconnaissent la souveraineté du Maroc. Ce geste a une résonance symbolique profonde », a-t-il souligné.
Au-delà de la reconnaissance américaine, Omar Hilale a évoqué une évolution plus large du positionnement international autour du dossier. Selon lui, plusieurs capitales européennes — notamment Paris, Londres et Berlin — ont, depuis, exprimé leur soutien au plan d’autonomie marocain comme « unique base réaliste, pragmatique et durable pour une solution politique ». Cette dynamique diplomatique, a-t-il ajouté, consacre « la prééminence du Maroc dans la recherche d’un règlement pacifique conforme aux résolutions onusiennes ».
Regardant vers l’avenir, le représentant du Maroc à l’ONU a exprimé le souhait que cette avancée politique s’accompagne d’un rapprochement régional. « Nous espérons que le président Trump visitera le Sahara marocain, et que l’année prochaine sera celle de la réconciliation maghrébine », a-t-il déclaré. Le diplomate a rappelé que le Maghreb demeure « la région la moins intégrée du monde », conséquence directe d’un conflit prolongé qui entrave la coopération économique et la libre circulation des peuples.
Pour Hilale, la vision du roi Mohammed VI reste claire : « tendre la main, agir avec patience, et défendre avec fermeté l’intégrité territoriale ». Il a souligné que le souverain a toujours privilégié une approche fondée sur le dialogue et le développement, en témoigne l’essor économique et social que connaissent les provinces du Sud.
L’entretien s’est conclu sur une note d’optimisme. S’adressant à la journaliste américaine, Omar Hilale a lancé une invitation symbolique : « Venez voir le Sahara marocain. Vous y découvrirez un pays en mouvement, uni et fier, tourné vers l’avenir ».



















