L'exercice, organisé à Lagos, au Nigeria, comprend des scénarios de formation au port et en mer, y compris la familiarisation avec le centre d'opérations maritimes et des échanges sur les soins médicaux, les opérations concernant la recherche et le sauvetage et les techniques d'embarquement.
« L'activité maritime illicite menace les efforts de développement régional, affaiblit la sécurité de l'État et prive nos partenaires africains des ressources précieuses sur lesquelles ils comptent pour la croissance économique et une gouvernance efficace », a déclaré l'amiral Stuart Munsch, commandant des Forces navales américaines Europe-Afrique.
"L'exercice Obangame Express est une occasion importante d'améliorer nos capacités collectives, d'établir la confiance entre nos nations et de promouvoir la stabilité dans une partie du monde d'une importance vitale." a-t-il ajouté.
OE23, l'un des trois exercices régionaux facilités par la NAVAF, offre des opportunités de collaboration aux forces africaines et américaines et aux partenaires internationaux pour répondre aux préoccupations maritimes transnationales partagées.
La coopération en cours de la NAVAF en matière de sécurité maritime avec ses partenaires africains vise à surmonter les défis de la sûreté et de la sécurité maritimes dans la région.
L'exercice est une opportunité pour des partenaires partageant les mêmes vues de travailler ensemble pour développer des solutions africaines aux défis transnationaux partagés et promouvoir la sécurité mondiale.
"Obangame Express 2023 reflète le dévouement continu des États-Unis envers nos partenaires du Golfe de Guinée alors qu'ils s'efforcent de sécuriser leur population, leurs économies et leurs ressources. Nous sommes ravis que le Nigeria accueille cet exercice militaire, car nous croyons fermement que la sécurité maritime au Nigeria et chez ses voisins conduira à une plus grande prospérité pour la région dans son ensemble », a déclaré Mary Beth Leonard, ambassadrice des États-Unis au Nigeria.
L'exercice se déroule dans cinq zones du Sud de l'Océan Atlantique et du Golfe de Guinée - s'étendant de l'île ouest-africaine de Cabo Verde aux côtes centrafricaines de l'Angola -, y compris la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centre (CEEAC).
Les 32 nations participant à OE23 sont l'Angola, le Bénin, le Brésil, le Cap Vert, le Cameroun, le Canada, la Côte d'Ivoire, la République démocratique du Congo, le Danemark, la France, le Gabon, la Gambie, l'Allemagne, le Ghana, la Guinée-Bissau, l'Italie, le Libéria ,le Maroc, la Namibie, les Pays-Bas, le Nigeria, la Pologne, le Portugal, la République du Congo, Sao Tomé-et-Principe, le Sénégal, Sierra Leone, l’Espagne, le Togo et les États-Unis. Y participeront également la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Communauté Economique des États de l'Afrique Centrale (CEEAC).
Les États-Unis entendent développer les liens avec les pays partenaires africains pour assurer la sécurité, la sûreté et la liberté de navigation sur les eaux entourant le continent, car ces eaux sont essentielles pour la sécurité commune, la prospérité de l'Afrique et l'accès aux marchés mondiaux.
Depuis plus de 80 ans, US Naval Forces Europe-US Naval Forces Africa (NAVEUR-NAVAF) a noué des relations stratégiques avec des alliés et des partenaires, en s'appuyant sur un référentiel d’objectifs communs pour préserver la sécurité et la stabilité.
Basée à Naples, en Italie, NAVEUR-NAVAF compte sur les forces navales américaines dans les zones de responsabilité du Commandement européen des États-Unis (USEUCOM) et du Commandement américain pour l'Afrique (USAFRICOM). La sixième flotte américaine est affectée en permanence à NAVEUR-NAVAF et emploie des forces maritimes dans tout le spectre des opérations interarmées et navales.
« L'activité maritime illicite menace les efforts de développement régional, affaiblit la sécurité de l'État et prive nos partenaires africains des ressources précieuses sur lesquelles ils comptent pour la croissance économique et une gouvernance efficace », a déclaré l'amiral Stuart Munsch, commandant des Forces navales américaines Europe-Afrique.
"L'exercice Obangame Express est une occasion importante d'améliorer nos capacités collectives, d'établir la confiance entre nos nations et de promouvoir la stabilité dans une partie du monde d'une importance vitale." a-t-il ajouté.
OE23, l'un des trois exercices régionaux facilités par la NAVAF, offre des opportunités de collaboration aux forces africaines et américaines et aux partenaires internationaux pour répondre aux préoccupations maritimes transnationales partagées.
La coopération en cours de la NAVAF en matière de sécurité maritime avec ses partenaires africains vise à surmonter les défis de la sûreté et de la sécurité maritimes dans la région.
L'exercice est une opportunité pour des partenaires partageant les mêmes vues de travailler ensemble pour développer des solutions africaines aux défis transnationaux partagés et promouvoir la sécurité mondiale.
"Obangame Express 2023 reflète le dévouement continu des États-Unis envers nos partenaires du Golfe de Guinée alors qu'ils s'efforcent de sécuriser leur population, leurs économies et leurs ressources. Nous sommes ravis que le Nigeria accueille cet exercice militaire, car nous croyons fermement que la sécurité maritime au Nigeria et chez ses voisins conduira à une plus grande prospérité pour la région dans son ensemble », a déclaré Mary Beth Leonard, ambassadrice des États-Unis au Nigeria.
L'exercice se déroule dans cinq zones du Sud de l'Océan Atlantique et du Golfe de Guinée - s'étendant de l'île ouest-africaine de Cabo Verde aux côtes centrafricaines de l'Angola -, y compris la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centre (CEEAC).
Les 32 nations participant à OE23 sont l'Angola, le Bénin, le Brésil, le Cap Vert, le Cameroun, le Canada, la Côte d'Ivoire, la République démocratique du Congo, le Danemark, la France, le Gabon, la Gambie, l'Allemagne, le Ghana, la Guinée-Bissau, l'Italie, le Libéria ,le Maroc, la Namibie, les Pays-Bas, le Nigeria, la Pologne, le Portugal, la République du Congo, Sao Tomé-et-Principe, le Sénégal, Sierra Leone, l’Espagne, le Togo et les États-Unis. Y participeront également la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et la Communauté Economique des États de l'Afrique Centrale (CEEAC).
Les États-Unis entendent développer les liens avec les pays partenaires africains pour assurer la sécurité, la sûreté et la liberté de navigation sur les eaux entourant le continent, car ces eaux sont essentielles pour la sécurité commune, la prospérité de l'Afrique et l'accès aux marchés mondiaux.
Depuis plus de 80 ans, US Naval Forces Europe-US Naval Forces Africa (NAVEUR-NAVAF) a noué des relations stratégiques avec des alliés et des partenaires, en s'appuyant sur un référentiel d’objectifs communs pour préserver la sécurité et la stabilité.
Basée à Naples, en Italie, NAVEUR-NAVAF compte sur les forces navales américaines dans les zones de responsabilité du Commandement européen des États-Unis (USEUCOM) et du Commandement américain pour l'Afrique (USAFRICOM). La sixième flotte américaine est affectée en permanence à NAVEUR-NAVAF et emploie des forces maritimes dans tout le spectre des opérations interarmées et navales.
