
Au moment où le prix d’essence a dépassé le cap des 16 dh, battant un nouveau record, la ministre a répondu, catégoriquement, lors de la session des questions orales à la Chambre des représentants, lundi, que "le budget du Maroc ne permet pas de subventionner les hydrocarbures".
Les prix du carburant étaient subventionnés par le biais du fonds de compensation, mais il a été décidé de lever cette subvention en 2015 sous le gouvernement d' Abdelilah Benkirane. Par ailleurs, la ministre de l'Economie a expliqué que « le gouvernement a décidé de soutenir le secteur des transports, car c'est un secteur horizontal et le premier consommateur de carburant, et cela a un impact sur tous les autres produits. »
La responsable gouvernementale a déclaré que "soutenir le secteur des transports est une mesure très importante, car elle comprenait 180 000 véhicules, ce qui a eu un impact sur la réduction de l'inflation".
Alaoui a affirmé que "le problème, c'est le manque de vision face aux répercussions de la guerre en Ukraine", et d'ajouter : "C'est une crise mondiale, et on nous demande de gérer la crise sans hypothéquer le programme gouvernemental. »
La ministre des Finances a ajouté que "les hypothèses retenues par le gouvernement dans la Loi de Finances étaient fondées sur une situation normale et non sur celle de crise", considérant que "ce que vit le monde aujourd'hui n'était connu de personne auparavant".
« Le gouvernement s'est engagé à respecter les choix de renforcement de l'État social, de promotion des énergies renouvelables et de recherche d'une solution au problème de la rareté de l'eau, et ce dans le cadre des capacités disponibles », souligne la ministre, ajoutant que "le gouvernement travaille avec tous les acteurs du secteur des hydrocarbures afin d'approvisionner le marché et d'éviter tout problème d'approvisionnement auquel est confronté un certain nombre de pays".
Les prix du carburant étaient subventionnés par le biais du fonds de compensation, mais il a été décidé de lever cette subvention en 2015 sous le gouvernement d' Abdelilah Benkirane. Par ailleurs, la ministre de l'Economie a expliqué que « le gouvernement a décidé de soutenir le secteur des transports, car c'est un secteur horizontal et le premier consommateur de carburant, et cela a un impact sur tous les autres produits. »
La responsable gouvernementale a déclaré que "soutenir le secteur des transports est une mesure très importante, car elle comprenait 180 000 véhicules, ce qui a eu un impact sur la réduction de l'inflation".
Alaoui a affirmé que "le problème, c'est le manque de vision face aux répercussions de la guerre en Ukraine", et d'ajouter : "C'est une crise mondiale, et on nous demande de gérer la crise sans hypothéquer le programme gouvernemental. »
La ministre des Finances a ajouté que "les hypothèses retenues par le gouvernement dans la Loi de Finances étaient fondées sur une situation normale et non sur celle de crise", considérant que "ce que vit le monde aujourd'hui n'était connu de personne auparavant".
« Le gouvernement s'est engagé à respecter les choix de renforcement de l'État social, de promotion des énergies renouvelables et de recherche d'une solution au problème de la rareté de l'eau, et ce dans le cadre des capacités disponibles », souligne la ministre, ajoutant que "le gouvernement travaille avec tous les acteurs du secteur des hydrocarbures afin d'approvisionner le marché et d'éviter tout problème d'approvisionnement auquel est confronté un certain nombre de pays".