Le programme d’action pour l’année 2022 entend poursuivre les efforts en matière d’évaluation, de mobilisation et de protection des ressources en eau en vue de répondre à la demande en eau croissante dans la zone d’action de l’Agence et d’accompagner le développement socio-économique de la zone.
Intervenant lors de cette réunion, tenue en présence notamment du wali de la région de l’Oriental, gouverneur de la préfecture d’Oujda-Angad, M. Mouad El Jamai et le vice-président du Conseil de la région, M. Omar Hejira, le ministre a souligné que le bassin de la Moulouya a connu cette année le lancement de plusieurs projets structurants dans le domaine de la mobilisation et de la régularisation des apports d’eau au niveau de ce bassin.
Parmi ces projets, figure la surélévation du barrage Mohammed V dans la province de Nador pour atteindre une capacité de 1 milliard de m3, en vue de sécuriser l’approvisionnement en eau potable et l’irrigation, a-t-il relevé, mettant l’accent également sur les travaux de construction du barrage Béni Azimane dans la province de Driouch, d’une capacité de 44 millions de m3 pour l’approvisionnement en eau potable, l’irrigation et la protection contre les inondations.
M. Baraka a aussi mis en exergue le programme de grands, petits barrages et lacs collinaires, prévu dans ce bassin pour garantir les besoins en eau des provinces de la région de l’Oriental.
De son côté, le directeur de l’ABHM, M. Boubker El Haoudi, a présenté le bilan de l’agence durant l’année 2020, marqué par la réalisation de nombreux projets et actions qui s’inscrivent dans le cadre de la planification et la gestion intégrée, participative et durable des ressources en eau à l’échelle du bassin, ainsi que du Programme national d’approvisionnement en eau potable et l’irrigation 2020-2027.
Cette session du CA a connu aussi l’adoption du procès-verbal de la dernière réunion tenue en avril 2021 et la présentation de l’état d’avancement du programme de l’Agence au titre de 2021 et des résultats de l’audit financier de l’ABHM.
Les membres du CA ont aussi approuvé une convention relative à la réalisation de projets d’exploration et d’amélioration des eaux souterraines dans le cadre du Programme national d’approvisionnement en eau potable et l’irrigation 2020-2027, en plus de la convention portant sur les travaux de protection des habitants de la ville de Bouarfa du risque d’inondations.
Gestion de l’eau à l’ordre du jour
Cette réunion a été, en outre, une occasion pour la concertation et la discussion, entre les différents intervenants dans le domaine de l’eau, des différents défis de la gestion intégrée et durable des ressources en eau. Cette concertation sera renforcée par la mise en place du Conseil de Bassin qui est en cours de constitution.
A noter que la situation hydrologique du bassin de la Moulouya pour la période de septembre-novembre 2021 est marquée par un déficit aigu de précipitations dans la plupart des zones, atteignant -78 pc au niveau de Melloulou (Guercif) et -72 à Melqa El Ouidane (Taourirt). Seule la zone de Missour a enregistré un léger excédent de 10 pc.
Selon des données présentées lors de cette réunion, les ressources en eau enregistrées dans les barrages du bassin de la Moulouya ont atteint, en septembre-novembre 2021, un volume de 161 millions de m3, soit un déficit de 40 pc par rapport à la moyenne (269 millions de m3).
De même, les apports en eau du complexe hydraulique Mohammed V – Mechraâ Hammadi et les barrage Hassan II, Oued Za et Tamalout, ont atteint près de 48 millions de m3.
Le bassin hydraulique de la Moulouya couvre les provinces de Nador, Berkane, Taourirt, Driouch, Figuig, Jerada, Guercif, Taza, Boulemane et Midelt, en plus de la préfecture d’Oujda-Angad.
Intervenant lors de cette réunion, tenue en présence notamment du wali de la région de l’Oriental, gouverneur de la préfecture d’Oujda-Angad, M. Mouad El Jamai et le vice-président du Conseil de la région, M. Omar Hejira, le ministre a souligné que le bassin de la Moulouya a connu cette année le lancement de plusieurs projets structurants dans le domaine de la mobilisation et de la régularisation des apports d’eau au niveau de ce bassin.
Parmi ces projets, figure la surélévation du barrage Mohammed V dans la province de Nador pour atteindre une capacité de 1 milliard de m3, en vue de sécuriser l’approvisionnement en eau potable et l’irrigation, a-t-il relevé, mettant l’accent également sur les travaux de construction du barrage Béni Azimane dans la province de Driouch, d’une capacité de 44 millions de m3 pour l’approvisionnement en eau potable, l’irrigation et la protection contre les inondations.
M. Baraka a aussi mis en exergue le programme de grands, petits barrages et lacs collinaires, prévu dans ce bassin pour garantir les besoins en eau des provinces de la région de l’Oriental.
De son côté, le directeur de l’ABHM, M. Boubker El Haoudi, a présenté le bilan de l’agence durant l’année 2020, marqué par la réalisation de nombreux projets et actions qui s’inscrivent dans le cadre de la planification et la gestion intégrée, participative et durable des ressources en eau à l’échelle du bassin, ainsi que du Programme national d’approvisionnement en eau potable et l’irrigation 2020-2027.
Cette session du CA a connu aussi l’adoption du procès-verbal de la dernière réunion tenue en avril 2021 et la présentation de l’état d’avancement du programme de l’Agence au titre de 2021 et des résultats de l’audit financier de l’ABHM.
Les membres du CA ont aussi approuvé une convention relative à la réalisation de projets d’exploration et d’amélioration des eaux souterraines dans le cadre du Programme national d’approvisionnement en eau potable et l’irrigation 2020-2027, en plus de la convention portant sur les travaux de protection des habitants de la ville de Bouarfa du risque d’inondations.
Gestion de l’eau à l’ordre du jour
Cette réunion a été, en outre, une occasion pour la concertation et la discussion, entre les différents intervenants dans le domaine de l’eau, des différents défis de la gestion intégrée et durable des ressources en eau. Cette concertation sera renforcée par la mise en place du Conseil de Bassin qui est en cours de constitution.
A noter que la situation hydrologique du bassin de la Moulouya pour la période de septembre-novembre 2021 est marquée par un déficit aigu de précipitations dans la plupart des zones, atteignant -78 pc au niveau de Melloulou (Guercif) et -72 à Melqa El Ouidane (Taourirt). Seule la zone de Missour a enregistré un léger excédent de 10 pc.
Selon des données présentées lors de cette réunion, les ressources en eau enregistrées dans les barrages du bassin de la Moulouya ont atteint, en septembre-novembre 2021, un volume de 161 millions de m3, soit un déficit de 40 pc par rapport à la moyenne (269 millions de m3).
De même, les apports en eau du complexe hydraulique Mohammed V – Mechraâ Hammadi et les barrage Hassan II, Oued Za et Tamalout, ont atteint près de 48 millions de m3.
Le bassin hydraulique de la Moulouya couvre les provinces de Nador, Berkane, Taourirt, Driouch, Figuig, Jerada, Guercif, Taza, Boulemane et Midelt, en plus de la préfecture d’Oujda-Angad.
