Deux champions du monde sont déjà tombés devant le Onze national. Après la gifle infligée à l’Espagne, grand favori de cette Coupe du monde (2-0), c’est au tour du Brésil, autre super favori, de plier face aux jeunes Marocains. Le Onze national mérite amplement le surnom de « déculotteur » des géants.
Nul doute que l’Espagne se demande encore comment elle a pu encaisser une telle correction. Et désormais, le Brésil s’interroge lui aussi. Car en observant la Seleção avant le match, il y avait de quoi être impressionné : grandes tailles, carrures athlétiques, regards trop confiants… bref, tout pour intimider les plus aguerris. Mais pas les Marocains. Eux, savaient cacher leur jeu. Avec leur coach Mohamed Ouahdi, ils avaient préparé leur plan. Après avoir cuisiné l’Espagne, ils avaient mijoté un autre stratagème pour la Seleção.
Et Yacine Gessim et ses coéquipiers n’en avaient cure. Sur le terrain, ils ont exécuté leur partition avec une discipline remarquable. Heureusement aussi qu’il y avait un arbitre intraitable : le Costaricain, qui ne s’est jamais laissé berner par les manigances et simulations brésiliennes. Comme ce faux fauchage grotesque d’un attaquant adverse… Car on sait que certaines sélections sud-américaines entraînent leurs joueurs à « bien tomber » dans la surface. Mais l’arbitre n’a rien laissé passer, allant même jusqu’à avertir les simulateurs. Et même lorsqu’il accorda un penalty discutable en fin de match, il semblait lui-même peu convaincu de sa décision.
Contre l’Espagne comme contre le Brésil, les jeunes Marocains ont joué selon une stratégie claire, pensée avec intelligence. À l’inverse, Espagnols et Brésiliens paraissaient se reposer uniquement sur leur talent et leur puissance physique. Et pourtant, comme face à l’Espagne, ce sont encore les Marocains qui ont raté les plus belles occasions. À l’image de cette échappée d’El Bahraoui, qui aurait pu sceller la rencontre en inscrivant le 3ème but. Il avait au bout du pied la balle de la délivrance.
À ceux qui s’attendaient à voir les Lionceaux subir de lourdes défaites : surprise ! Au lieu d’en recevoir, ce sont eux qui les distribuent.
Reste une question lancinante, qui revient encore et encore : « Pourquoi les sélections marocaines héritent-elles toujours de tirages au sort aussi injustes que périlleux ? ».
Nul doute que l’Espagne se demande encore comment elle a pu encaisser une telle correction. Et désormais, le Brésil s’interroge lui aussi. Car en observant la Seleção avant le match, il y avait de quoi être impressionné : grandes tailles, carrures athlétiques, regards trop confiants… bref, tout pour intimider les plus aguerris. Mais pas les Marocains. Eux, savaient cacher leur jeu. Avec leur coach Mohamed Ouahdi, ils avaient préparé leur plan. Après avoir cuisiné l’Espagne, ils avaient mijoté un autre stratagème pour la Seleção.
Et Yacine Gessim et ses coéquipiers n’en avaient cure. Sur le terrain, ils ont exécuté leur partition avec une discipline remarquable. Heureusement aussi qu’il y avait un arbitre intraitable : le Costaricain, qui ne s’est jamais laissé berner par les manigances et simulations brésiliennes. Comme ce faux fauchage grotesque d’un attaquant adverse… Car on sait que certaines sélections sud-américaines entraînent leurs joueurs à « bien tomber » dans la surface. Mais l’arbitre n’a rien laissé passer, allant même jusqu’à avertir les simulateurs. Et même lorsqu’il accorda un penalty discutable en fin de match, il semblait lui-même peu convaincu de sa décision.
Contre l’Espagne comme contre le Brésil, les jeunes Marocains ont joué selon une stratégie claire, pensée avec intelligence. À l’inverse, Espagnols et Brésiliens paraissaient se reposer uniquement sur leur talent et leur puissance physique. Et pourtant, comme face à l’Espagne, ce sont encore les Marocains qui ont raté les plus belles occasions. À l’image de cette échappée d’El Bahraoui, qui aurait pu sceller la rencontre en inscrivant le 3ème but. Il avait au bout du pied la balle de la délivrance.
À ceux qui s’attendaient à voir les Lionceaux subir de lourdes défaites : surprise ! Au lieu d’en recevoir, ce sont eux qui les distribuent.
Reste une question lancinante, qui revient encore et encore : « Pourquoi les sélections marocaines héritent-elles toujours de tirages au sort aussi injustes que périlleux ? ».
