Regragui a réuni une génération notable de joueurs élevés dans le football en Europe et même nés dans des pays du continent qui ont marqué l'histoire mondiale.
Cette équipe marocaine a réussi à être l'équipe africaine qui est allée le plus loin de tous les temps, battant le Cameroun de Roger Milla qui a atteint les quarts de finale.
L'équipe maghrébine a surpris les supporters en empruntant le parcours le plus difficile.
Elle a éliminé le troisième de la dernière Coupe du monde, la Belgique, le demi-finaliste de la dernière Coupe d'Europe, l'Espagne et l'avant-dernier champion d'Europe, le Portugal. Pour la première fois, elle jouissait de sa grande pincée de chance.
Le départ de Roberto Martinez
Le bien pour le Maroc a été le mal pour Romelu Lukaku. L'attaquant de l'Inter a eu plusieurs occasions de but franches : celui qui n'échoue généralement pas puisqu'il a été découvert comme attaquant notable à Anderlecht.
Ce jour-là, tous les visages se sont dévoilés pour l'équipe d'Afrique. Lukaku a raté plusieurs fois et la Belgique a été laissée de côté.
Le Maroc est allé premier de la phase de groupes et a condamné l'avenir du premier entraîneur rival, Roberto Martínez.
Le Maroc a provoqué un départ presque instantané de l'entraîneur espagnol, qui a quitté l'équipe en direct devant les médias après avoir atteint la troisième place de la dernière Coupe du monde. Cela a mis fin à une génération dorée qui n'a jamais pu jouer du métal.
Le départ de Luis Enrique
En huitièmes de finale, le Maroc a été le mur contre lequel l'Espagne s'est heurtée. Cette défaite signifiait la fin de l'étape de Luis Enrique à la tête de La Roja.
L'Espagne n'a pas réussi à marquer un but en 120 minutes et tout s'est joué aux tirs au but.
Regragui a cédé le ballon, mais n'a pas négocié l'intensité de son équipe à chaque duel, seulement égalé en Espagne par Gavi.
La chance, doublée d'une réussite remarquée, a encore souri aux Lions de l'Atlas des onze mètres.
Sarabia, qui a apporté un record de pénalité immaculé, a raté le premier.
Plus tard, Bono a excellé pour donner la passe à l'équipe du Maghreb. Achraf a scellé la fusillade avec un penalty à la Panenka, imitant son ami Sergio Ramos.
De la Fédération, les Espagnols ont pris la décision de ne pas offrir le renouvellement à Luis Enrique, qui terminera l'année et se dissociera à la recherche de nouveaux projets. Luis de la Fuente sera déjà le nouvel entraîneur.
L'équipe marocaine pourrait renvoyer l'Asturien dans le football de club qu’il a quitté depuis son départ du Barça en 2017.
Le départ de Fernando Santos
Fernando Santos est le dernier à tomber. Le Portugal n'a pas non plus été en mesure de surmonter le mur marocain. Ni sans Cristiano, le plan initial, ni avec lui, le plan après la pause, la Seleçao n’a su l'emporter sur le Maroc.
Au contraire, les hommes de Regragui ont gagné le match grâce à un but d'En-Nesyri, qui a volé bien haut, dépassant les deux mètres (2m78), comme Cristiano pour terminer d'un joli coup de tête devant le regard de l’attaquant de Madère depuis le banc.
Sur ce même banc, il a été observé par Fernando Santos, qui, comme l'a annoncé la presse portugaise, n'est plus entraîneur.
L'entraîneur est arrivé à la Coupe du monde en raison de ses résultats et de son style, jugé trop défensif pour le talent offensif qu'il a avec Cristiano lui-même, Rafael Leao, Andre Silva, Bruno Fernandes, Bernardo Silva, João Félix, Cancelo...
Trois entraîneurs montés sur les podiums des dernières grandes compétitions sont tombés face à des Lions de l'Atlas qui « dévorent » des sélectionneurs de renom.
Deschamps aurait été pu être la dernière grande victime si son équipe n’avait pas vaincu les poulains de Regragui bien que privés de deux flagrants pénaltys.
Cette équipe marocaine a réussi à être l'équipe africaine qui est allée le plus loin de tous les temps, battant le Cameroun de Roger Milla qui a atteint les quarts de finale.
L'équipe maghrébine a surpris les supporters en empruntant le parcours le plus difficile.
Elle a éliminé le troisième de la dernière Coupe du monde, la Belgique, le demi-finaliste de la dernière Coupe d'Europe, l'Espagne et l'avant-dernier champion d'Europe, le Portugal. Pour la première fois, elle jouissait de sa grande pincée de chance.
Le départ de Roberto Martinez
Le bien pour le Maroc a été le mal pour Romelu Lukaku. L'attaquant de l'Inter a eu plusieurs occasions de but franches : celui qui n'échoue généralement pas puisqu'il a été découvert comme attaquant notable à Anderlecht.
Ce jour-là, tous les visages se sont dévoilés pour l'équipe d'Afrique. Lukaku a raté plusieurs fois et la Belgique a été laissée de côté.
Le Maroc est allé premier de la phase de groupes et a condamné l'avenir du premier entraîneur rival, Roberto Martínez.
Le Maroc a provoqué un départ presque instantané de l'entraîneur espagnol, qui a quitté l'équipe en direct devant les médias après avoir atteint la troisième place de la dernière Coupe du monde. Cela a mis fin à une génération dorée qui n'a jamais pu jouer du métal.
Le départ de Luis Enrique
En huitièmes de finale, le Maroc a été le mur contre lequel l'Espagne s'est heurtée. Cette défaite signifiait la fin de l'étape de Luis Enrique à la tête de La Roja.
L'Espagne n'a pas réussi à marquer un but en 120 minutes et tout s'est joué aux tirs au but.
Regragui a cédé le ballon, mais n'a pas négocié l'intensité de son équipe à chaque duel, seulement égalé en Espagne par Gavi.
La chance, doublée d'une réussite remarquée, a encore souri aux Lions de l'Atlas des onze mètres.
Sarabia, qui a apporté un record de pénalité immaculé, a raté le premier.
Plus tard, Bono a excellé pour donner la passe à l'équipe du Maghreb. Achraf a scellé la fusillade avec un penalty à la Panenka, imitant son ami Sergio Ramos.
De la Fédération, les Espagnols ont pris la décision de ne pas offrir le renouvellement à Luis Enrique, qui terminera l'année et se dissociera à la recherche de nouveaux projets. Luis de la Fuente sera déjà le nouvel entraîneur.
L'équipe marocaine pourrait renvoyer l'Asturien dans le football de club qu’il a quitté depuis son départ du Barça en 2017.
Le départ de Fernando Santos
Fernando Santos est le dernier à tomber. Le Portugal n'a pas non plus été en mesure de surmonter le mur marocain. Ni sans Cristiano, le plan initial, ni avec lui, le plan après la pause, la Seleçao n’a su l'emporter sur le Maroc.
Au contraire, les hommes de Regragui ont gagné le match grâce à un but d'En-Nesyri, qui a volé bien haut, dépassant les deux mètres (2m78), comme Cristiano pour terminer d'un joli coup de tête devant le regard de l’attaquant de Madère depuis le banc.
Sur ce même banc, il a été observé par Fernando Santos, qui, comme l'a annoncé la presse portugaise, n'est plus entraîneur.
L'entraîneur est arrivé à la Coupe du monde en raison de ses résultats et de son style, jugé trop défensif pour le talent offensif qu'il a avec Cristiano lui-même, Rafael Leao, Andre Silva, Bruno Fernandes, Bernardo Silva, João Félix, Cancelo...
Trois entraîneurs montés sur les podiums des dernières grandes compétitions sont tombés face à des Lions de l'Atlas qui « dévorent » des sélectionneurs de renom.
Deschamps aurait été pu être la dernière grande victime si son équipe n’avait pas vaincu les poulains de Regragui bien que privés de deux flagrants pénaltys.
