En réponse à une question à ce sujet, le ministre a de même fait état de l’instauration de plusieurs conseils agricoles locaux et de l’élaboration d’un plan directeur relatif aux professions relevant du secteur, en plus du lancement d’une initiative nationale pour la sélection et l’accompagnement des jeunes porteurs de projets innovants dans l’agriculture numérique et la simplification des procédures de création des entreprises.
Il a rappelé que l’émergence d’une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs agricoles et la création des opportunités d’emploi comptent parmi les objectifs principaux du Plan Maroc Vert.
D’autre part, interpellé à propos du « processus de commercialisation et de distribution des produits agricoles à l’échelle régionale et locale », le ministre a affirmé que l’armature mise en place repose essentiellement sur les marchés de gros et de proximité et les souks hebdomadaires. Ces derniers, a-t-il cependant remarqué, connaissent plusieurs problèmes et dysfonctionnements qui entravent le processus de production agricole, notamment au niveau de la qualité des infrastructures et des services logistiques, mais également en matière de gestion, d’hygiène et de pléthore d’intermédiaires.
Le ministre a indiqué, à cet égard, que le gouvernement a préparé un plan d'action qui définit les priorités et les réformes à entreprendre en la matière. Il a fait référence au Plan Maroc Vert, qui vise à créer 12 marchés régionaux de gros de fruits et légumes, soit un marché pour chaque région d’ici 2030, dont 5 marchés en cours d’installation, notamment à Rabat dont les travaux seront terminés en 2023, mais aussi à Berkane, Meknès, Agadir et Marrakech, avec livraison d’ici 2025.
Par ailleurs, le ministère travaille à la réhabilitation des marchés hebdomadaires à travers la conclusion d’accords au niveau provincial, s’inscrivant dans le cadre des plans régionaux. Ainsi, 100 souks hebdomadaires seront modernisés d’ici 2030, en plus de la mise à niveau de plusieurs abattoirs. Seddiki a précisé que parmi 796 abattoirs existants au niveau national, 14 sont aujourd’hui certifiés.
Il a rappelé que l’émergence d’une nouvelle génération de jeunes entrepreneurs agricoles et la création des opportunités d’emploi comptent parmi les objectifs principaux du Plan Maroc Vert.
D’autre part, interpellé à propos du « processus de commercialisation et de distribution des produits agricoles à l’échelle régionale et locale », le ministre a affirmé que l’armature mise en place repose essentiellement sur les marchés de gros et de proximité et les souks hebdomadaires. Ces derniers, a-t-il cependant remarqué, connaissent plusieurs problèmes et dysfonctionnements qui entravent le processus de production agricole, notamment au niveau de la qualité des infrastructures et des services logistiques, mais également en matière de gestion, d’hygiène et de pléthore d’intermédiaires.
Le ministre a indiqué, à cet égard, que le gouvernement a préparé un plan d'action qui définit les priorités et les réformes à entreprendre en la matière. Il a fait référence au Plan Maroc Vert, qui vise à créer 12 marchés régionaux de gros de fruits et légumes, soit un marché pour chaque région d’ici 2030, dont 5 marchés en cours d’installation, notamment à Rabat dont les travaux seront terminés en 2023, mais aussi à Berkane, Meknès, Agadir et Marrakech, avec livraison d’ici 2025.
Par ailleurs, le ministère travaille à la réhabilitation des marchés hebdomadaires à travers la conclusion d’accords au niveau provincial, s’inscrivant dans le cadre des plans régionaux. Ainsi, 100 souks hebdomadaires seront modernisés d’ici 2030, en plus de la mise à niveau de plusieurs abattoirs. Seddiki a précisé que parmi 796 abattoirs existants au niveau national, 14 sont aujourd’hui certifiés.
