L'Union Générale Des Entreprises Et Professions (UGEP) a organisé, jeudi dernier à Casablanca, une rencontre avec les différents responsables de petites et moyennes entreprises afin d’échanger sur les défis que rencontrent les TPME en ces temps de crise.
Le ministre de l’Industrie, Ryad Mezzour, qui prenait part à cette rencontre, a exprimé sa volonté de travailler avec les professionnels pour mettre fin à leurs préoccupations et doléances. « Nous allons renforcer le dialogue pour donner la priorité aux TPME et aux PME », a indiqué le ministre, ajoutant que son département veillera à leur assurer un accompagnement adéquat pour consolider leur valeur ajoutée socioéconomique. Un processus, fondamental pour la réussite de cette catégorie d’entreprises qui constitue plus de 99% du tissu économique marocain.
Dans ce sillage, Mezzour a donné l’exemple des bénéficiaires du programme Intelaka, dont environ 67% n’ont pas pu rembourser leurs crédits bancaires, selon le ministre. Notant que 20% des crédits sont à la charge des jeunes bénéficiaires, qui souvent manquent de moyens, Ryad Mezzour, a précisé que sans l’accompagnement du gouvernement un grand nombre de ces derniers se retrouverait endetté à vie. Il a, par ailleurs, ajouté que le gouvernement travaille sur des mécanismes d’accompagnement pour assurer la réussite des projets lancés par les jeunes entrepreneurs.
Il est à noter que près de 20.000 TPE ont déclaré faillite en 2021, et 25.000 en 2022. Maintenant, selon les estimations d’experts contactés par nos soins, plus de 250.000 TPE seraient susceptibles de mettre les clés sous la porte.
Rappelons également que le programme Intelaka, lancé en février 2020 sous les hautes orientations de SM le Roi Mohammed, a permis d'octroyer un total de 40000 prêts en 2022 d'une valeur de 8,6 milliards de DH, permettant la création de 110.000 opportunités d'emplois indirects. Plus de 80% des projets concernent le milieu urbain. Casablanca-Settat est en pole position des régions bénéficiaires avec un taux de 26%, suivie par Rabat-Salé-Kénitra (17%), puis Fès-Meknès (12%).
Par secteur d’activité, quelque 18% des crédits ont été octroyés au secteur du Commerce, 14% à l’agriculture, 11% à l’Industrie et services, 9% au tourisme et 5% au BTP.
Le ministre de l’Industrie, Ryad Mezzour, qui prenait part à cette rencontre, a exprimé sa volonté de travailler avec les professionnels pour mettre fin à leurs préoccupations et doléances. « Nous allons renforcer le dialogue pour donner la priorité aux TPME et aux PME », a indiqué le ministre, ajoutant que son département veillera à leur assurer un accompagnement adéquat pour consolider leur valeur ajoutée socioéconomique. Un processus, fondamental pour la réussite de cette catégorie d’entreprises qui constitue plus de 99% du tissu économique marocain.
Dans ce sillage, Mezzour a donné l’exemple des bénéficiaires du programme Intelaka, dont environ 67% n’ont pas pu rembourser leurs crédits bancaires, selon le ministre. Notant que 20% des crédits sont à la charge des jeunes bénéficiaires, qui souvent manquent de moyens, Ryad Mezzour, a précisé que sans l’accompagnement du gouvernement un grand nombre de ces derniers se retrouverait endetté à vie. Il a, par ailleurs, ajouté que le gouvernement travaille sur des mécanismes d’accompagnement pour assurer la réussite des projets lancés par les jeunes entrepreneurs.
Il est à noter que près de 20.000 TPE ont déclaré faillite en 2021, et 25.000 en 2022. Maintenant, selon les estimations d’experts contactés par nos soins, plus de 250.000 TPE seraient susceptibles de mettre les clés sous la porte.
Rappelons également que le programme Intelaka, lancé en février 2020 sous les hautes orientations de SM le Roi Mohammed, a permis d'octroyer un total de 40000 prêts en 2022 d'une valeur de 8,6 milliards de DH, permettant la création de 110.000 opportunités d'emplois indirects. Plus de 80% des projets concernent le milieu urbain. Casablanca-Settat est en pole position des régions bénéficiaires avec un taux de 26%, suivie par Rabat-Salé-Kénitra (17%), puis Fès-Meknès (12%).
Par secteur d’activité, quelque 18% des crédits ont été octroyés au secteur du Commerce, 14% à l’agriculture, 11% à l’Industrie et services, 9% au tourisme et 5% au BTP.