Le ministre de l’Intérieur espagnol, Fernando Grande-Marlaska, est attendu, selon des informations relayées par les médias ibériques, mercredi, à Melillia pour visiter les nouvelles installations biométriques du poste de Beni Enzar, principal point de passage terrestre.
Cette visite sera l'occasion d'inaugurer officiellement le système automatisé Entry/Exit System (EES), basé sur des technologies biométriques avancées. Ce dispositif constitue l’un des piliers de la douane dite « intelligente », un concept mis en place par l’Union européenne pour moderniser le contrôle des flux migratoires, renforcer la sécurité et améliorer la fluidité des passages.
Le système EES déployé à Melillia permet l’enregistrement automatique des entrées et sorties des ressortissants de pays tiers se rendant dans l’espace Schengen pour de courts séjours. En capturant des données biométriques telles que les empreintes digitales et les images faciales, ce système vise à prévenir plusieurs formes de fraude, notamment l’usurpation d’identité ou l’usage de documents falsifiés.
En octobre dernier, la Police nationale espagnole faisait état de plus de quatre millions de passages de personnes et 760.000 véhicules enregistrés au poste de Beni Enzar au cours de l’année écoulée. Une intensité de trafic qui justifie, selon les autorités, l’introduction de dispositifs automatisés pour limiter les temps d’attente tout en assurant un contrôle rigoureux.
Cette visite sera l'occasion d'inaugurer officiellement le système automatisé Entry/Exit System (EES), basé sur des technologies biométriques avancées. Ce dispositif constitue l’un des piliers de la douane dite « intelligente », un concept mis en place par l’Union européenne pour moderniser le contrôle des flux migratoires, renforcer la sécurité et améliorer la fluidité des passages.
Le système EES déployé à Melillia permet l’enregistrement automatique des entrées et sorties des ressortissants de pays tiers se rendant dans l’espace Schengen pour de courts séjours. En capturant des données biométriques telles que les empreintes digitales et les images faciales, ce système vise à prévenir plusieurs formes de fraude, notamment l’usurpation d’identité ou l’usage de documents falsifiés.
En octobre dernier, la Police nationale espagnole faisait état de plus de quatre millions de passages de personnes et 760.000 véhicules enregistrés au poste de Beni Enzar au cours de l’année écoulée. Une intensité de trafic qui justifie, selon les autorités, l’introduction de dispositifs automatisés pour limiter les temps d’attente tout en assurant un contrôle rigoureux.