Compte tenu des évolutions qu’a connues le secteur de la presse nationale ces dernières années et afin de veiller au bon fonctionnement des entreprises de presse, le ministre de la Culture, de la Jeunesse et du Sport a annoncé que l’enveloppe dédiée au soutien à la presse va passer à 200 millions de dirhams par an.
Réforme du Code de la presse
Dans le même sens, le ministre a souligné la nécessité de procéder à une réforme globale du code de la presse et de l’édition. "Il est temps d’évaluer la phase précédente, 2003-2022 afin d’identifier les réussites et les failles enregistrés dans le secteur de la presse après l’adoption du Code de la presse et de l’édition en 2003", a indiqué Bensaid soulignant que cela permettra un développement concret de médias, sérieux, responsables en mesure de fournir la bonne vraie information.
Le ministre a de même souligné que le modèle économique des entreprises de presse devrait faire objet d’examen profond en passant du modèle classique des subventions vers l’investissement.
Les ressources humaines sont au cœur de la révision voulue par l’Exécutif. En effet, le ministre a insisté sur l’amélioration des conditions économique et sociales des journalistes, et ce, à travers l’augmentation des salaires minimums, la mise à jour de la convention collective et la protection des droits salariés du secteur, en forte concertation avec le chantier de la protection sociale. « Ce n’est pas évident que le journaliste soit exclu de ce grand chantier dans toutes ses dimensions », a t-il conclut.
Réforme du Code de la presse
Dans le même sens, le ministre a souligné la nécessité de procéder à une réforme globale du code de la presse et de l’édition. "Il est temps d’évaluer la phase précédente, 2003-2022 afin d’identifier les réussites et les failles enregistrés dans le secteur de la presse après l’adoption du Code de la presse et de l’édition en 2003", a indiqué Bensaid soulignant que cela permettra un développement concret de médias, sérieux, responsables en mesure de fournir la bonne vraie information.
Le ministre a de même souligné que le modèle économique des entreprises de presse devrait faire objet d’examen profond en passant du modèle classique des subventions vers l’investissement.
Les ressources humaines sont au cœur de la révision voulue par l’Exécutif. En effet, le ministre a insisté sur l’amélioration des conditions économique et sociales des journalistes, et ce, à travers l’augmentation des salaires minimums, la mise à jour de la convention collective et la protection des droits salariés du secteur, en forte concertation avec le chantier de la protection sociale. « Ce n’est pas évident que le journaliste soit exclu de ce grand chantier dans toutes ses dimensions », a t-il conclut.