Une étude récente, publiée en janvier sous le titre "Des conditions futures nettement plus humides ou plus sèches pour un à deux tiers de la population mondial e", lance un cri d'alarme sur les changements de cycle des précipitations qui pourraient toucher deux tiers de la population mondiale d'ici la fin du siècle. Pour le Maroc, cette étude prévoit une baisse pouvant atteindre 20% des précipitations, le classant parmi les cinq pays les plus exposés.
La région méditerranéenne, y compris le Maroc, se trouve au cœur de cette inquiétante prédiction. La Grèce, l'Espagne, la Palestine, et le Portugal rejoignent le Maroc parmi les cinq pays où les simulations montrent une diminution significative des précipitations, atteignant jusqu'à 21% dans un scénario d'émissions modérées et pouvant aller jusqu'à 55% dans un scénario d'émissions élevées.
Déjà aux prises avec une pénurie d'eau et des sécheresses récurrentes, le Maroc est particulièrement vulnérable à ces changements climatiques. Les experts mettent en garde contre l'aggravation des défis environnementaux existants, soulignant que l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre combinée au réchauffement climatique ne fera qu'accentuer les conditions humides ou arides dans des régions sensibles comme le Maroc.
L'étude souligne également que des pays comme la Finlande, la Corée du Nord, la Russie, et le Canada pourraient connaître une augmentation de 90% du taux d'humidification, tandis que d'autres régions pourraient faire face à des augmentations de 35% et 48% des précipitations annuelles, respectivement dans des conditions d'émissions modérées et élevées.
Face à ces projections alarmantes, le Maroc et d'autres nations exposées sont appelés à concentrer leurs efforts sur des actions immédiates et significatives de réduction des émissions. L'étude souligne que seule une action rapide et décisive peut aider ces pays à atténuer les conséquences potentiellement dévastatrices d'un climat plus aride.
La région méditerranéenne, y compris le Maroc, se trouve au cœur de cette inquiétante prédiction. La Grèce, l'Espagne, la Palestine, et le Portugal rejoignent le Maroc parmi les cinq pays où les simulations montrent une diminution significative des précipitations, atteignant jusqu'à 21% dans un scénario d'émissions modérées et pouvant aller jusqu'à 55% dans un scénario d'émissions élevées.
Déjà aux prises avec une pénurie d'eau et des sécheresses récurrentes, le Maroc est particulièrement vulnérable à ces changements climatiques. Les experts mettent en garde contre l'aggravation des défis environnementaux existants, soulignant que l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre combinée au réchauffement climatique ne fera qu'accentuer les conditions humides ou arides dans des régions sensibles comme le Maroc.
L'étude souligne également que des pays comme la Finlande, la Corée du Nord, la Russie, et le Canada pourraient connaître une augmentation de 90% du taux d'humidification, tandis que d'autres régions pourraient faire face à des augmentations de 35% et 48% des précipitations annuelles, respectivement dans des conditions d'émissions modérées et élevées.
Face à ces projections alarmantes, le Maroc et d'autres nations exposées sont appelés à concentrer leurs efforts sur des actions immédiates et significatives de réduction des émissions. L'étude souligne que seule une action rapide et décisive peut aider ces pays à atténuer les conséquences potentiellement dévastatrices d'un climat plus aride.
