L’indice de la Bourse de Casablanca regroupant l'ensemble des actions cotées, à savoir le MASI, a enregistré une hausse de 23,85 % depuis fin 2024, atteignant 18 296,60 points (+37,55 % en glissement annuel), tiré par les secteurs bancaire, télécoms et BTP. Le MASI 20 qui regroupe les 20 valeurs les plus liquides de la place progresse de 39,21 %. La capitalisation boursière atteint 959,44 milliards de dirhams (+38,57 %), et le volume transactionnel grimpe à 64,4 milliards. Le ratio de liquidité s’améliore à 14,27 %.
Du côté de la gestion collective, les OPCVM poursuivent leur trajectoire ascendante. Leur actif net s’élève à 773 milliards de dirhams à fin mai (+26,7 % sur un an), avec des souscriptions nettes importantes sur les fonds obligataires court et moyen-long terme. L’encours global des actifs sous gestion collective dépasse désormais 900 milliards de dirhams.
Par ailleurs, le marché de la dette reste dynamique, avec un encours global des titres de créance de 1 063 milliards de dirhams, dominé par les bons du Trésor (72,5 %). Le Trésor a levé 58 milliards en cinq mois, majoritairement sur des maturités longues. Les émissions obligataires d’entreprises atteignent 8,4 milliards, à 93 % à long terme.
Juridiquement, le semestre a été marqué par l’adoption de la loi 03-25, modernisant le cadre des OPCVM. Elle introduit de nouveaux types de fonds, telle que les OPCVM à compartiments, les participatifs conformes à la charia, les ETF cotés en Bourse, les fonds nourriciers, maîtres, dédiés ou à règles de fonctionnement allégées (RFA).
L’habilitation professionnelle prévue par la loi 43-12 s’affirme comme un cadre structurant pour sept fonctions sensibles du secteur financier, dont contrôleur interne, gérant de portefeuille, analyste financier, négociateur, compensateur, conseiller financier et responsable post-marché. Fin 2024, 378 professionnels étaient certifiés, avec un taux de réussite supérieur à 80 %, notamment grâce à l’intégration de la certification CISI (Chartered Institute for Securities & Investment) pour les gérants de portefeuille.
Sur le plan institutionnel, l’AMMC affiche une feuille de route 2025 articulée autour de quatre priorités, à savoir la mobilisation de l’épargne et la promotion de la finance durable, l’accompagnement des acteurs, le renforcement de la supervision, et l’amélioration de la performance organisationnelle.
En effet, le chiffre d’affaires des sociétés cotées s’élève à 316,7 milliards de dirhams (+5,5 %) et le résultat net à 36,4 milliards (+9 %), porté par les banques et le secteur pétrolier, malgré des replis dans les télécoms et les boissons.
À mi-chemin de l’année, le marché confirme sa robustesse, soutenu par une stratégie bien définie et des réformes de grande envergure.
Du côté de la gestion collective, les OPCVM poursuivent leur trajectoire ascendante. Leur actif net s’élève à 773 milliards de dirhams à fin mai (+26,7 % sur un an), avec des souscriptions nettes importantes sur les fonds obligataires court et moyen-long terme. L’encours global des actifs sous gestion collective dépasse désormais 900 milliards de dirhams.
Par ailleurs, le marché de la dette reste dynamique, avec un encours global des titres de créance de 1 063 milliards de dirhams, dominé par les bons du Trésor (72,5 %). Le Trésor a levé 58 milliards en cinq mois, majoritairement sur des maturités longues. Les émissions obligataires d’entreprises atteignent 8,4 milliards, à 93 % à long terme.
Juridiquement, le semestre a été marqué par l’adoption de la loi 03-25, modernisant le cadre des OPCVM. Elle introduit de nouveaux types de fonds, telle que les OPCVM à compartiments, les participatifs conformes à la charia, les ETF cotés en Bourse, les fonds nourriciers, maîtres, dédiés ou à règles de fonctionnement allégées (RFA).
L’habilitation professionnelle prévue par la loi 43-12 s’affirme comme un cadre structurant pour sept fonctions sensibles du secteur financier, dont contrôleur interne, gérant de portefeuille, analyste financier, négociateur, compensateur, conseiller financier et responsable post-marché. Fin 2024, 378 professionnels étaient certifiés, avec un taux de réussite supérieur à 80 %, notamment grâce à l’intégration de la certification CISI (Chartered Institute for Securities & Investment) pour les gérants de portefeuille.
Sur le plan institutionnel, l’AMMC affiche une feuille de route 2025 articulée autour de quatre priorités, à savoir la mobilisation de l’épargne et la promotion de la finance durable, l’accompagnement des acteurs, le renforcement de la supervision, et l’amélioration de la performance organisationnelle.
En effet, le chiffre d’affaires des sociétés cotées s’élève à 316,7 milliards de dirhams (+5,5 %) et le résultat net à 36,4 milliards (+9 %), porté par les banques et le secteur pétrolier, malgré des replis dans les télécoms et les boissons.
À mi-chemin de l’année, le marché confirme sa robustesse, soutenu par une stratégie bien définie et des réformes de grande envergure.