
L'association du Médiateur pour la Démocratie et les Droits de l'Homme (MDDH) a appelé à appuyer et renforcer les compétences des différents acteurs et intervenants, publics et privés, agissant dans le champ de la protection des données personnelles et de la vie privée, ainsi qu’à qualifier les mécanismes de protection des données personnelles des citoyens, en conformité avec l'évolution continue du numérique. Pour ce faire, l’association n’y est pas allée par quatre chemins.
Les recommandations de l’association MDDH
Dans son rapport annuel intitulé « La situation des droits et libertés au Maroc pour l’année 2019 », l'association a plaidé pour l'amélioration du cadre juridique et sa mise en conformité avec les dispositions de la constitution et des conventions internationales concernant les personnes physiques, lorsqu’il s’agit de traitement des données à caractère personnel.
L’association recommande, également, la promotion de la Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données à Caractère Personnel (CNDP), en l’élevant au rang des institutions indépendantes créées par une loi conformément à l’article 159 de la constitution, de même que d’adopter des garanties juridiques et procédurales permettant un traitement des données à caractère personnel conforme aux conventions internationales et régionales ratifiées par le Maroc.
Concernant le droit d’opinion et d’expression, l’association a invité à revoir le Code de la presse et de l’édition, en vue de protéger la liberté d’opinion et d’édition, de garantir la confidentialité des sources d’information de manière claire et de promulguer le principe de proportionnalité entre le préjudice survenu et les indemnisations accordées dans les procès en diffamation.
Par ailleurs, pour certains spécialistes, le royaume est passé du 1.0 au 4.0 en quelques jours, surtout dans le domaine de l’éducation, et a la possibilité de se transformer rapidement. Ainsi, une nouvelle vie se profile à l’horizon.
Les recommandations de l’association MDDH
Dans son rapport annuel intitulé « La situation des droits et libertés au Maroc pour l’année 2019 », l'association a plaidé pour l'amélioration du cadre juridique et sa mise en conformité avec les dispositions de la constitution et des conventions internationales concernant les personnes physiques, lorsqu’il s’agit de traitement des données à caractère personnel.
L’association recommande, également, la promotion de la Commission Nationale de Contrôle de la Protection des Données à Caractère Personnel (CNDP), en l’élevant au rang des institutions indépendantes créées par une loi conformément à l’article 159 de la constitution, de même que d’adopter des garanties juridiques et procédurales permettant un traitement des données à caractère personnel conforme aux conventions internationales et régionales ratifiées par le Maroc.
Concernant le droit d’opinion et d’expression, l’association a invité à revoir le Code de la presse et de l’édition, en vue de protéger la liberté d’opinion et d’édition, de garantir la confidentialité des sources d’information de manière claire et de promulguer le principe de proportionnalité entre le préjudice survenu et les indemnisations accordées dans les procès en diffamation.
Par ailleurs, pour certains spécialistes, le royaume est passé du 1.0 au 4.0 en quelques jours, surtout dans le domaine de l’éducation, et a la possibilité de se transformer rapidement. Ainsi, une nouvelle vie se profile à l’horizon.