« Actuellement, dans notre stratégie de sécurité nationale, la menace marocaine n’est pas mentionnée. Nous avons des groupes de travail sur Sebta et Melillia, au même titre que toutes les autres communautés autonomes, car c'est notre travail de défendre notre État et, pour l'instant, il n'y a rien de spécifique à ce sujet », a affirmé ce lundi 1er juillet le général Loreto Gutiérrez Hurtado.
Le Général Hurtado, à la tête du Département de la Sécurité Nationale (DSN) depuis novembre, joue un rôle clé de Conseiller direct auprès de la présidence du gouvernement. Lors d’un petit-déjeuner informatif, organisé par le Club Dialogues pour la Démocratie, il a mis en avant les campagnes de désinformation comme l'un des principaux défis pour la sécurité nationale.
En novembre 2021, l’Amiral Teodoro López Calderón, actuel chef des armées espagnoles, avait également déclaré que « le Maroc ne constitue pas une menace pour Sebta et Melillia ». Ces propos avaient suscité des réactions virulentes de la part des formations politiques de droite et d’extrême droite.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que cet organisme gouvernemental ne mentionne pas le Maroc dans la liste des pays représentant une menace directe pour la sécurité espagnole. En mars 2024, le Département de la Sécurité avait écarté le Royaume des États accusés d’ingérences dans les affaires intérieures de l’Espagne, tels que la Chine ou la Russie.
Le Général Hurtado, à la tête du Département de la Sécurité Nationale (DSN) depuis novembre, joue un rôle clé de Conseiller direct auprès de la présidence du gouvernement. Lors d’un petit-déjeuner informatif, organisé par le Club Dialogues pour la Démocratie, il a mis en avant les campagnes de désinformation comme l'un des principaux défis pour la sécurité nationale.
En novembre 2021, l’Amiral Teodoro López Calderón, actuel chef des armées espagnoles, avait également déclaré que « le Maroc ne constitue pas une menace pour Sebta et Melillia ». Ces propos avaient suscité des réactions virulentes de la part des formations politiques de droite et d’extrême droite.
D’ailleurs, ce n’est pas la première fois que cet organisme gouvernemental ne mentionne pas le Maroc dans la liste des pays représentant une menace directe pour la sécurité espagnole. En mars 2024, le Département de la Sécurité avait écarté le Royaume des États accusés d’ingérences dans les affaires intérieures de l’Espagne, tels que la Chine ou la Russie.
