Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une réunion avec le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, consacrée à la mise en oeuvre des recommandations du Conseil de la concurrence dans le cadre de son avis sur "le fonctionnement concurrentiel du marché du livre scolaire", M. Rahhou a appelé à une plus grande ouverture, en termes d'édition et de distribution, au profit du secteur privé.
Le rapport présenté par le Conseil de la concurrence sur le livre scolaire vient suite à une auto-saisine du Conseil, qui a donné son avis sur le respect des règles de concurrence dans l'édition et la production du livre scolaire, qui est l'un des produits subventionnés par l’État, a-t-il souligné.
Pour sa part, M. Benmoussa a indiqué que cette réunion était l'occasion d’examiner l'avis du Conseil de la concurrence sur le livre scolaire, étant l’une des questions abordées dans la feuille de route 2022-2026, ajoutant qu’il est étroitement lié à la qualité de l’école publique, des curricula, des conditions de scolarité des élèves et d'exercer du personnel enseignant.
Le ministre a également rappelé le travail de la commission permanente chargée du suivi des curricula qui travaille sur les livres scolaires, soulignant l'importance d'écouter l'avis du Conseil de la concurrence à cet égard, afin d'encadrer le travail de la commission et d’examiner avec le conseil les recommandations qu'il a formulées, visant à améliorer la qualité des livres scolaires et à garantir leur vente à des prix raisonnables pour les élèves.
Selon un communiqué du ministère, les recommandations du Conseil de la concurrence portent sur la nécessité de procéder à une révision de fond du modèle économique sur lequel repose le marché du livre scolaire, en prenant en considération les spécificités culturelles et sociétales du pays, tout en révisant les rôles et les tâches assignés aux ministère en lien avec le manuels scolaire, ajoutant que ces recommandations concernent également la mise en œuvre d’un nouveau cadre juridique et réglementaire. De même, l'Etat se doit de s’approprier la production des manuels scolaires officiels destinés notamment au cycle primaire et secondaire comme étant un acte constitutif de la souveraineté nationale.
Le Conseil a également appelé à une révision profonde des curricula et des programmes scolaires qui en découlent avec la participation de toutes les parties concernées, à la lutte contre la dilapidation des ressources allouées à la production des livres scolaires, à l'adoption d'une politique rigoureuse pour la réutilisation des livres scolaires et à l'élaboration d’une politique publique qui vise la modernisation de ces livres via une mise à jour constante.
Le rapport présenté par le Conseil de la concurrence sur le livre scolaire vient suite à une auto-saisine du Conseil, qui a donné son avis sur le respect des règles de concurrence dans l'édition et la production du livre scolaire, qui est l'un des produits subventionnés par l’État, a-t-il souligné.
Pour sa part, M. Benmoussa a indiqué que cette réunion était l'occasion d’examiner l'avis du Conseil de la concurrence sur le livre scolaire, étant l’une des questions abordées dans la feuille de route 2022-2026, ajoutant qu’il est étroitement lié à la qualité de l’école publique, des curricula, des conditions de scolarité des élèves et d'exercer du personnel enseignant.
Le ministre a également rappelé le travail de la commission permanente chargée du suivi des curricula qui travaille sur les livres scolaires, soulignant l'importance d'écouter l'avis du Conseil de la concurrence à cet égard, afin d'encadrer le travail de la commission et d’examiner avec le conseil les recommandations qu'il a formulées, visant à améliorer la qualité des livres scolaires et à garantir leur vente à des prix raisonnables pour les élèves.
Selon un communiqué du ministère, les recommandations du Conseil de la concurrence portent sur la nécessité de procéder à une révision de fond du modèle économique sur lequel repose le marché du livre scolaire, en prenant en considération les spécificités culturelles et sociétales du pays, tout en révisant les rôles et les tâches assignés aux ministère en lien avec le manuels scolaire, ajoutant que ces recommandations concernent également la mise en œuvre d’un nouveau cadre juridique et réglementaire. De même, l'Etat se doit de s’approprier la production des manuels scolaires officiels destinés notamment au cycle primaire et secondaire comme étant un acte constitutif de la souveraineté nationale.
Le Conseil a également appelé à une révision profonde des curricula et des programmes scolaires qui en découlent avec la participation de toutes les parties concernées, à la lutte contre la dilapidation des ressources allouées à la production des livres scolaires, à l'adoption d'une politique rigoureuse pour la réutilisation des livres scolaires et à l'élaboration d’une politique publique qui vise la modernisation de ces livres via une mise à jour constante.