Le voyageur qui entre dans une agence de voyages sans avoir une destination en tête n’est pas courant : « Mais, après maintes hésitations, j’ai opté pour Paris, sans raison apparente ni m’expliquer les raisons qui m’avaient poussé à choisir cette destination plutôt qu’une autre, telle que Vienne, Milan ou Barcelone, par exemple ».
Si l’auteur nous indique sa destination, il ne révèle pas le lieu de départ. Le titre de ce chapitre d’ouverture « Hommage » rend bien compte de la suite et impose, en quelque sorte, le genre : mémoire, témoignage plutôt que fiction.
Selon le prière d’insérer, l’auteur, Mohammed Lansari, a fait ses études à Paris et le choix de sa destination est une sorte de pèlerinage, de retour aux sources, sur ses propres pas d’étudiant dans la capitale française : « La ville de Paris ne m’est pas totalement inconnue. J’y ai vécu assez longtemps pour des raisons d’étude… », précise le narrateur dès la première page de l’ouvrage.
« VOYAGE VERS L’INCONNUe » (à souligner le e en minuscule qui ajoute du sens au titre, le personnalise en quelque sorte, l’héroïne étant « la fabuleuse Makenda ») est-il pour autant le carnet de voyage, du retour vers le lieu de ses études de Mohammed Lansari ? Pas nécessairement : malgré l’absence de référence en couverture comme le veut la tradition éditoriale, « VOYAGE VERS L’INCONNUe » se présente comme la version romancée des « ressentis » de Mohammed Lansari qui en cite au moins trois : le libre arbitre, la place des femmes dans sociétés modernes, l’homme face à la mort.
Edité à compte d’auteur, « VOYAGE VERS L’INCONNUe » annonce d’autres ouvrages à paraître de Mohammed Lansari.
Si l’auteur nous indique sa destination, il ne révèle pas le lieu de départ. Le titre de ce chapitre d’ouverture « Hommage » rend bien compte de la suite et impose, en quelque sorte, le genre : mémoire, témoignage plutôt que fiction.
Selon le prière d’insérer, l’auteur, Mohammed Lansari, a fait ses études à Paris et le choix de sa destination est une sorte de pèlerinage, de retour aux sources, sur ses propres pas d’étudiant dans la capitale française : « La ville de Paris ne m’est pas totalement inconnue. J’y ai vécu assez longtemps pour des raisons d’étude… », précise le narrateur dès la première page de l’ouvrage.
« VOYAGE VERS L’INCONNUe » (à souligner le e en minuscule qui ajoute du sens au titre, le personnalise en quelque sorte, l’héroïne étant « la fabuleuse Makenda ») est-il pour autant le carnet de voyage, du retour vers le lieu de ses études de Mohammed Lansari ? Pas nécessairement : malgré l’absence de référence en couverture comme le veut la tradition éditoriale, « VOYAGE VERS L’INCONNUe » se présente comme la version romancée des « ressentis » de Mohammed Lansari qui en cite au moins trois : le libre arbitre, la place des femmes dans sociétés modernes, l’homme face à la mort.
Edité à compte d’auteur, « VOYAGE VERS L’INCONNUe » annonce d’autres ouvrages à paraître de Mohammed Lansari.