Cette décision a été prise suite à la tenue d’une assemblée générale par la Commission nationale des médecins internes et résidents (CNIR). Les médecins comptent, ainsi, protester contre ce qu’ils qualifient comme « une série de négligences croissantes face à toutes les revendications des médecins internes et résidents ».
Ils dénoncent également « le report constant des réunions avec le ministère de la Santé et de la Protection sociale », qui, selon eux, n’a pas honoré sa promesse d'établir des conseils administratifs et des groupes de travail dédiés aux internes et résidents, selon les médecins.
Les médecins ont également annoncé leur décision de boycotter la surveillance des examens d'accès aux facultés de médecine et de pharmacie, ainsi que des examens de rattrapage du deuxième semestre du cycle fondamental, et ce, en signe de solidarité avec les étudiants des facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire.
Les médecins exigent, par ailleurs, la résolution de la crise des futurs médecins en répondant aux revendications légitimes de ces derniers. La Commission nationale des médecins internes et résidents appelle le gouvernement à adopter une approche « sage et pragmatique » basée sur le dialogue et les méthodes de négociation les plus appropriées afin de sauver l’année universitaire et de préserver la santé des citoyens, selon ses termes.
Ils dénoncent également « le report constant des réunions avec le ministère de la Santé et de la Protection sociale », qui, selon eux, n’a pas honoré sa promesse d'établir des conseils administratifs et des groupes de travail dédiés aux internes et résidents, selon les médecins.
Les médecins ont également annoncé leur décision de boycotter la surveillance des examens d'accès aux facultés de médecine et de pharmacie, ainsi que des examens de rattrapage du deuxième semestre du cycle fondamental, et ce, en signe de solidarité avec les étudiants des facultés de médecine, de pharmacie et de médecine dentaire.
Les médecins exigent, par ailleurs, la résolution de la crise des futurs médecins en répondant aux revendications légitimes de ces derniers. La Commission nationale des médecins internes et résidents appelle le gouvernement à adopter une approche « sage et pragmatique » basée sur le dialogue et les méthodes de négociation les plus appropriées afin de sauver l’année universitaire et de préserver la santé des citoyens, selon ses termes.