Présentée vendredi sous le co- commissariat de Marc Jeanson, botaniste au Muséum National d’Histoire Naturelle à Paris, et Laurent Le Bon, Président du Centre Pompidou à Paris, cette exposition met en évidence la fascination et le charme que cette famille de plantes exerce sur les humains depuis la nuit des temps.
Les diverses créations et œuvres présentées permettent aux visiteurs une véritable lecture de l’histoire du cactus en tant que patrimoine aussi bien naturel que culturel qui fait partie de l’héritage de différents pays où l’on rencontre ces plantes aux formes simples, figures fractales, couleurs éteintes, sourdes ou éclatantes, gangues épineuses, duveteuses, hirsutes ou encore cireuses.
Symbole de la résilience, de la force, de l’endurance mais aussi d’une forte capacité d’adaptation aux conditions extrêmes, le cactus, à la faveur de ses figures transgressives, ne cesse d'inspirer architectes, photographes, designers, artistes et créateurs mais aussi, des réalisateurs qui peuplèrent leurs décors de leur graphisme iconique.
" +Cactus+ se veut une promenade poétique autour de cette plante magique qui vient essentiellement du continent américain, mais qui a fait rêver des artistes du monde entier", explique à la MAP, le co-commissaire de l'exposition, Laurent Le Bon.
"Nous avons voulu créer un cabinet de curiosité pluridisciplinaire qui convoque des disciplines artistiques traditionnelles, comme la peinture, le dessin mais également le cinéma et la photo, invitant ainsi le visiteur à se promener dans cet espace de 120 m2", ajoute M. Le Bon.
En fait, l’exposition n’est pas un catalogue de différentes variétés du cactus, mais plutôt une immersion artistique qui questionne la représentation du cactus voire même comment un cactus naturel peut être considéré comme une œuvre d’art, a-t-il enchaîné.
Il en est de même pour le co-commissaire Marc Jeanson, qui a considéré que le concept de "Cactus" à la vertu d'être la première exposition du genre qui fait ce lien direct entre le Jardin Majorelle et l’espace du Musée mYSLm, en recréant un jardin cactus pratiquement diffèrent au sein du Musée.
"Cette exposition nous montre comment le cactus est devenu une passion et ce, à partir de l’observation qui va permettre d'explorer le sublime que renferment les éléments de la nature, mais aussi servir de l’inspiration à travers une grande diversité de techniques artistiques rassemblées autour du cactus, telles que la sculpture, la peinture, la photographie ou encore le film", enchaine M. Jeanson, faisant observer que peu de familles de plantes ont été l’objet de tant de transpositions artistiques.
Face à un monde qui fait face de plus en plus aux défis climatiques, le visiteur de cette exposition peut se projeter aussi dans ces dimensions liées à la résilience et à l'endurance que représente le cactus, ajoute M. Jeanson.
"Le cactus est connu pour ses adaptations biologiques, c’est une invitation à l'humanité pour s’adapter elle aussi à ce monde qui pâtit tant de dégradations", estime l'ingénieur agronome.
En parfaite symbiose avec des œuvres d’art ancien et contemporain, dont celles de David Hockney, Lina Ghotmeh et de Martin Creed ainsi que des objets d’histoire naturelle, cet événement artistique présente des exemples de la très riche histoire iconographique, ornementale et ethnologique des cactées et des plantes succulentes.
Le Jardin Majorelle possède une des plus grandes collections de ces plantes du Continent africain avec plus d’une soixantaine d’espèces inventoriées dans ses collections.
Les diverses créations et œuvres présentées permettent aux visiteurs une véritable lecture de l’histoire du cactus en tant que patrimoine aussi bien naturel que culturel qui fait partie de l’héritage de différents pays où l’on rencontre ces plantes aux formes simples, figures fractales, couleurs éteintes, sourdes ou éclatantes, gangues épineuses, duveteuses, hirsutes ou encore cireuses.
Symbole de la résilience, de la force, de l’endurance mais aussi d’une forte capacité d’adaptation aux conditions extrêmes, le cactus, à la faveur de ses figures transgressives, ne cesse d'inspirer architectes, photographes, designers, artistes et créateurs mais aussi, des réalisateurs qui peuplèrent leurs décors de leur graphisme iconique.
" +Cactus+ se veut une promenade poétique autour de cette plante magique qui vient essentiellement du continent américain, mais qui a fait rêver des artistes du monde entier", explique à la MAP, le co-commissaire de l'exposition, Laurent Le Bon.
"Nous avons voulu créer un cabinet de curiosité pluridisciplinaire qui convoque des disciplines artistiques traditionnelles, comme la peinture, le dessin mais également le cinéma et la photo, invitant ainsi le visiteur à se promener dans cet espace de 120 m2", ajoute M. Le Bon.
En fait, l’exposition n’est pas un catalogue de différentes variétés du cactus, mais plutôt une immersion artistique qui questionne la représentation du cactus voire même comment un cactus naturel peut être considéré comme une œuvre d’art, a-t-il enchaîné.
Il en est de même pour le co-commissaire Marc Jeanson, qui a considéré que le concept de "Cactus" à la vertu d'être la première exposition du genre qui fait ce lien direct entre le Jardin Majorelle et l’espace du Musée mYSLm, en recréant un jardin cactus pratiquement diffèrent au sein du Musée.
"Cette exposition nous montre comment le cactus est devenu une passion et ce, à partir de l’observation qui va permettre d'explorer le sublime que renferment les éléments de la nature, mais aussi servir de l’inspiration à travers une grande diversité de techniques artistiques rassemblées autour du cactus, telles que la sculpture, la peinture, la photographie ou encore le film", enchaine M. Jeanson, faisant observer que peu de familles de plantes ont été l’objet de tant de transpositions artistiques.
Face à un monde qui fait face de plus en plus aux défis climatiques, le visiteur de cette exposition peut se projeter aussi dans ces dimensions liées à la résilience et à l'endurance que représente le cactus, ajoute M. Jeanson.
"Le cactus est connu pour ses adaptations biologiques, c’est une invitation à l'humanité pour s’adapter elle aussi à ce monde qui pâtit tant de dégradations", estime l'ingénieur agronome.
En parfaite symbiose avec des œuvres d’art ancien et contemporain, dont celles de David Hockney, Lina Ghotmeh et de Martin Creed ainsi que des objets d’histoire naturelle, cet événement artistique présente des exemples de la très riche histoire iconographique, ornementale et ethnologique des cactées et des plantes succulentes.
Le Jardin Majorelle possède une des plus grandes collections de ces plantes du Continent africain avec plus d’une soixantaine d’espèces inventoriées dans ses collections.
