"Les efforts traditionnels de conservation visant à protéger les rhinocéros se concentrent sur le braconnage, mais aucune analyse n’est effectuée sur l'impact que le changement climatique pourrait avoir sur ces animaux", a déclaré l’équipe de recherche qui relève de l'Université du Massachusetts.
Les chercheurs ont ajouté que les rhinocéros sont plus sensibles que les autres espèces sauvages aux perturbations climatiques, notant que les températures devraient augmenter rapidement durant les prochaines années au-dessus du seuil acceptable pour ces animaux.
Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), le continent africain a vu ses températures moyennes augmenter de 0,5 à 2 degrés Celsius au cours du siècle dernier, avec jusqu'à deux degrés supplémentaires de réchauffement projetés au cours des 100 prochaines années.
"La plupart des espèces seront, d'une manière ou d'une autre, affectées négativement par le changement climatique", a déclaré l'auteur principal de l’étude, Hlelowenkhosi Mamba, notant que les rhinocéros sont particulièrement vulnérables à ce phénomène.
"Il est donc important que les défenseurs de l’environnement mènent des évaluations macro-écologiques sur de vastes zones afin de détecter les nouvelles tendances et de se préparer à atténuer les effets du changement climatique, minimisant ainsi les pertes de biodiversité", a-t-il ajouté.
Pour sa part, Timothy Randhir, co-auteur de l’étude, a appelé les gestionnaires des parcs nationaux à commencer à mettre en place des mesures d’adaptations pour gérer l'augmentation des températures dans l'espoir de préserver l’avenir des rhinocéros.
Il a, ainsi, suggéré d’augmenter les approvisionnements en eau, renforcer les campagnes de reboisement et améliorer la surveillance du stress hydrique.
L’étude a porté sur cinq grands parcs nationaux situés en Afrique du Sud, en Namibie, au Zimbabwe, au Kenya, au Botswana, en Tanzanie et en eSwatini, qui abritent la plupart des rhinocéros en état sauvage dans le monde.
Les chercheurs ont ajouté que les rhinocéros sont plus sensibles que les autres espèces sauvages aux perturbations climatiques, notant que les températures devraient augmenter rapidement durant les prochaines années au-dessus du seuil acceptable pour ces animaux.
Selon le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), le continent africain a vu ses températures moyennes augmenter de 0,5 à 2 degrés Celsius au cours du siècle dernier, avec jusqu'à deux degrés supplémentaires de réchauffement projetés au cours des 100 prochaines années.
"La plupart des espèces seront, d'une manière ou d'une autre, affectées négativement par le changement climatique", a déclaré l'auteur principal de l’étude, Hlelowenkhosi Mamba, notant que les rhinocéros sont particulièrement vulnérables à ce phénomène.
"Il est donc important que les défenseurs de l’environnement mènent des évaluations macro-écologiques sur de vastes zones afin de détecter les nouvelles tendances et de se préparer à atténuer les effets du changement climatique, minimisant ainsi les pertes de biodiversité", a-t-il ajouté.
Pour sa part, Timothy Randhir, co-auteur de l’étude, a appelé les gestionnaires des parcs nationaux à commencer à mettre en place des mesures d’adaptations pour gérer l'augmentation des températures dans l'espoir de préserver l’avenir des rhinocéros.
Il a, ainsi, suggéré d’augmenter les approvisionnements en eau, renforcer les campagnes de reboisement et améliorer la surveillance du stress hydrique.
L’étude a porté sur cinq grands parcs nationaux situés en Afrique du Sud, en Namibie, au Zimbabwe, au Kenya, au Botswana, en Tanzanie et en eSwatini, qui abritent la plupart des rhinocéros en état sauvage dans le monde.
Avec MAP