Cette escale constitue, selon l’ambassade de France au Maroc, "une occasion pour les Marines française et marocaine de renforcer leurs liens, notamment à travers des activités conjointes, des conférences et des visites prévues tout au long de ces quatre jours".
Le bâtiment accueille à son bord la promotion 2025 du SIREN (Stage d’Instruction Régional Embarqué et Numérique), auquel participent un instructeur et un stagiaire marocain, parmi les 39 stagiaires issus de 21 pays d’Afrique et du Sud de l’Europe, indique-t-on de même source. Ces stages renforcent les connaissances théoriques et pratiques sur les missions de l’État en mer (sauvetage, lutte contre la pollution ou la piraterie) ainsi que la coopération régionale et la gestion de crise.
A l’occasion de cette escale, une réception a été organisée à bord, à l'initiative de l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier et le Capitaine de vaisseau Arnaud Bolelli, commandant du Tonnerre. Elle a été marquée par la présence notamment de l’Inspecteur de la Marine Royale, d’officiers supérieurs de l’Inspection de la Marine Royale et du Commandant d'Armes délégué de la Place de Casablanca.
Dans une déclaration à la MAP, l’ambassadeur de France au Maroc, M. Lecourtier, a souligné que "l’escale du porte-hélicoptères Tonnerre à Casablanca et les exercices d’interopérabilité prévus avec des unités marocaines s’inscrivent dans un cadre vaste et dynamique de coopération militaire franco-marocaine".
Il a rappelé, à cet égard, que la déclaration conjointe signée par le président de la République française et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite d’État d’octobre dernier "a mis en avant la place essentielle des questions de défense dans ce partenariat".
M. Lecourtier a cité, parmi les axes prioritaires de cette action commune, la formation, assurée notamment par l’académie SIREN embarquée sur le Tonnerre, ainsi que la lutte contre la pêche illégale, la pollution en mer et la piraterie.
Dans une déclaration similaire, le capitaine de vaisseau, M. Bolelli, a indiqué que la première escale au Maroc de ce navire, qui entame une mission de trois mois, "traduit les liens de coopération et de confiance très forts unissant les deux pays", notant qu'elle constitue "l'occasion de préparer des exercices conjoints d’interopérabilité avant la poursuite de la mission vers le golfe de Guinée".
Pour sa part, le capitaine de corvette, Emmanuel Vignet, directeur de l’académie maritime embarquée SIREN, a indiqué que la formation assurée par l’académie porte sur les grandes thématiques de l’action de d’État en mer.
Par ailleurs, il s'est félicité du partenariat "particulièrement précieux" avec l’École royale navale de Casablanca.
Le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Tonnerre, porte-hélicoptères d’assaut de la classe Mistral, est le deuxième plus grand bâtiment de la Marine française après le porte-avions Charles de Gaulle.
Ce navire polyvalent, qui peut accueillir à son bord plusieurs hélicoptères et engins de débarquement amphibie (pour le changement de milieu mer – terre), 650 militaires, une zone de commandement et un hôpital, se caractérise par son interopérabilité.
Le bâtiment accueille à son bord la promotion 2025 du SIREN (Stage d’Instruction Régional Embarqué et Numérique), auquel participent un instructeur et un stagiaire marocain, parmi les 39 stagiaires issus de 21 pays d’Afrique et du Sud de l’Europe, indique-t-on de même source. Ces stages renforcent les connaissances théoriques et pratiques sur les missions de l’État en mer (sauvetage, lutte contre la pollution ou la piraterie) ainsi que la coopération régionale et la gestion de crise.
A l’occasion de cette escale, une réception a été organisée à bord, à l'initiative de l’ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier et le Capitaine de vaisseau Arnaud Bolelli, commandant du Tonnerre. Elle a été marquée par la présence notamment de l’Inspecteur de la Marine Royale, d’officiers supérieurs de l’Inspection de la Marine Royale et du Commandant d'Armes délégué de la Place de Casablanca.
Dans une déclaration à la MAP, l’ambassadeur de France au Maroc, M. Lecourtier, a souligné que "l’escale du porte-hélicoptères Tonnerre à Casablanca et les exercices d’interopérabilité prévus avec des unités marocaines s’inscrivent dans un cadre vaste et dynamique de coopération militaire franco-marocaine".
Il a rappelé, à cet égard, que la déclaration conjointe signée par le président de la République française et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite d’État d’octobre dernier "a mis en avant la place essentielle des questions de défense dans ce partenariat".
M. Lecourtier a cité, parmi les axes prioritaires de cette action commune, la formation, assurée notamment par l’académie SIREN embarquée sur le Tonnerre, ainsi que la lutte contre la pêche illégale, la pollution en mer et la piraterie.
Dans une déclaration similaire, le capitaine de vaisseau, M. Bolelli, a indiqué que la première escale au Maroc de ce navire, qui entame une mission de trois mois, "traduit les liens de coopération et de confiance très forts unissant les deux pays", notant qu'elle constitue "l'occasion de préparer des exercices conjoints d’interopérabilité avant la poursuite de la mission vers le golfe de Guinée".
Pour sa part, le capitaine de corvette, Emmanuel Vignet, directeur de l’académie maritime embarquée SIREN, a indiqué que la formation assurée par l’académie porte sur les grandes thématiques de l’action de d’État en mer.
Par ailleurs, il s'est félicité du partenariat "particulièrement précieux" avec l’École royale navale de Casablanca.
Le porte-hélicoptères amphibie (PHA) Tonnerre, porte-hélicoptères d’assaut de la classe Mistral, est le deuxième plus grand bâtiment de la Marine française après le porte-avions Charles de Gaulle.
Ce navire polyvalent, qui peut accueillir à son bord plusieurs hélicoptères et engins de débarquement amphibie (pour le changement de milieu mer – terre), 650 militaires, une zone de commandement et un hôpital, se caractérise par son interopérabilité.