La saison des moustiques coïncide cette année avec une crise sanitaire internationale qui a imposé le confinement à plusieurs pays dont le Maroc. Alors que les maisons et les nuits des Marocains risquent d’être de plus en plus visitées par les moustiques, nous avons posé la question sur le risque potentiel de transmission du coronavirus par les piqures de ce petit insecte volant et intrusif au Pr Oumnia Himmi, chercheur à l’Institut scientifique de Rabat.
« Nous n’avons pas fait de recherches ici au Maroc pour répondre nous-mêmes à cette question, mais nos collègues ailleurs dans le monde l’ont fait. Leurs travaux ont démontré que le risque n’existe pas. Le coronavirus n’est pas une maladie vectorielle (NDLR pas de transmission possible via des insectes) car le virus ne survit pas dans le corps du moustique » explique Pr Himmi qui a en 2007 soutenu sa thèse doctorale sur la thématique des moustiques au Maroc.
Bien que les moustiques constituent des vecteurs potentiels de maladies (le paludisme, la dengue, la fièvre jaune, le chikungunya), l’Organisation Mondiale de la Santé a annoncé qu’à ce jour « aucune information ni preuve n'indique que le nouveau coronavirus pourrait être transmis par les moustiques. Le nouveau coronavirus est un virus respiratoire qui se propage principalement par des gouttelettes générées lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue, ou par des gouttelettes de salive ou des écoulements nasaux ».
Les moustiques resteront jusqu’à preuve du contraire, un simple intrus parfois très irritant. Pour se protéger du coronavirus, la meilleure méthode et de suivre les directives des autorités en restant chez vous et en vous conformant aux précautions hygiènes recommandées par l’OMS : « nettoyez-vous fréquemment les mains avec un désinfectant à base d'alcool ou lavez-les à l'eau et au savon. Évitez également tout contact étroit avec toute personne qui tousse et éternue ».
« Nous n’avons pas fait de recherches ici au Maroc pour répondre nous-mêmes à cette question, mais nos collègues ailleurs dans le monde l’ont fait. Leurs travaux ont démontré que le risque n’existe pas. Le coronavirus n’est pas une maladie vectorielle (NDLR pas de transmission possible via des insectes) car le virus ne survit pas dans le corps du moustique » explique Pr Himmi qui a en 2007 soutenu sa thèse doctorale sur la thématique des moustiques au Maroc.
Bien que les moustiques constituent des vecteurs potentiels de maladies (le paludisme, la dengue, la fièvre jaune, le chikungunya), l’Organisation Mondiale de la Santé a annoncé qu’à ce jour « aucune information ni preuve n'indique que le nouveau coronavirus pourrait être transmis par les moustiques. Le nouveau coronavirus est un virus respiratoire qui se propage principalement par des gouttelettes générées lorsqu'une personne infectée tousse ou éternue, ou par des gouttelettes de salive ou des écoulements nasaux ».
Les moustiques resteront jusqu’à preuve du contraire, un simple intrus parfois très irritant. Pour se protéger du coronavirus, la meilleure méthode et de suivre les directives des autorités en restant chez vous et en vous conformant aux précautions hygiènes recommandées par l’OMS : « nettoyez-vous fréquemment les mains avec un désinfectant à base d'alcool ou lavez-les à l'eau et au savon. Évitez également tout contact étroit avec toute personne qui tousse et éternue ».