Il s’agit d’un quotidien français prestigieux, à la plume affûtée, qui, depuis sa création en 1944, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, s’est toujours inscrit dans une tradition idéologique de gauche, fluctuante toutefois au gré des intérêts et des conjonctures.
Un journal de renom, pilier historique de la presse francophone, mais qui, depuis quelques années, semble s’égarer des idéaux de ses pères fondateurs, en cultivant une fixation de plus en plus malsaine sur le Maroc.
À chaque succès majeur du Royaume, en l’occurrence la récente victoire diplomatique dans le dossier du Sahara, le journal parisien semble presque s’imposer une ligne éditoriale basée sur le contrepied, à rebroussepoil du sens de la raison et de la vérité, et qui finit souvent et malheureusement par basculer dans la déraison et la plus vulgaire des contrepèteries.
Après les articles et analyses orientés d’antan, Le Monde, qui désire s’inscrire désormais dans son temps, nous a ainsi gratifiés d’un reportage vidéo qui fleure-bon, au meilleur des cas, la mauvaise fois manifeste de ses écrivaillons, et, au pire des cas, l’odeur âcre et nauséabonde de ces mêmes «pétrodinars» qui ont créé et financé et qui financent encore la cause perdue séparatiste.
Comme le rappelait souvent Pierre Bourdieu, fréquemment invoqué, d’ailleurs, par ce même journal, ils « fabriquent une vision de la réalité en sélectionnant, hiérarchisant et cadrant les faits selon leurs propres logiques et intérêts ». Économiques, politiques, ou les deux à la fois ? Peu importe, au fond, car les dérives professionnelles récurrentes de nos «déshonorables» confrères ne font que ternir l’héritage d’une marque jadis icône de ce noble métier qu’est la presse écrite.
Un journal de renom, pilier historique de la presse francophone, mais qui, depuis quelques années, semble s’égarer des idéaux de ses pères fondateurs, en cultivant une fixation de plus en plus malsaine sur le Maroc.
À chaque succès majeur du Royaume, en l’occurrence la récente victoire diplomatique dans le dossier du Sahara, le journal parisien semble presque s’imposer une ligne éditoriale basée sur le contrepied, à rebroussepoil du sens de la raison et de la vérité, et qui finit souvent et malheureusement par basculer dans la déraison et la plus vulgaire des contrepèteries.
Après les articles et analyses orientés d’antan, Le Monde, qui désire s’inscrire désormais dans son temps, nous a ainsi gratifiés d’un reportage vidéo qui fleure-bon, au meilleur des cas, la mauvaise fois manifeste de ses écrivaillons, et, au pire des cas, l’odeur âcre et nauséabonde de ces mêmes «pétrodinars» qui ont créé et financé et qui financent encore la cause perdue séparatiste.
Comme le rappelait souvent Pierre Bourdieu, fréquemment invoqué, d’ailleurs, par ce même journal, ils « fabriquent une vision de la réalité en sélectionnant, hiérarchisant et cadrant les faits selon leurs propres logiques et intérêts ». Économiques, politiques, ou les deux à la fois ? Peu importe, au fond, car les dérives professionnelles récurrentes de nos «déshonorables» confrères ne font que ternir l’héritage d’une marque jadis icône de ce noble métier qu’est la presse écrite.




















