Le Premier ministre, le Dr Ralph Gonsalves, a révélé le don lors d'une conférence de presse tenue vendredi suite à sa visite de travail au Maroc.
"Nous obtiendrons désormais chaque année directement pour les agriculteurs, 500 tonnes d'engrais, passant de 150 tonnes à 500 tonnes que nous distribuerons aux agriculteurs", a déclaré Gonsalves.
Il a déclaré que ce don fait partie de la "feuille de route de la coopération" entre Saint-Vincent-et-les Grenadines et le Maroc.
En dehors de l'agriculture, les deux pays ont convenu de coopérer dans des domaines tels que l'enseignement supérieur et la technologie.
Gonsalves a déclaré que le Maroc avait accepté de fournir un financement de 500 000 dollars pour quelques projets.
"Nous voulons prendre de l'argent pour commencer le processus de conception du laboratoire de science et technologie que nous rattacherons au Collège communautaire, que nous développerons... l'enseignement postsecondaire et universitaire dans ces domaines particuliers", a déclaré Gonsalves.
Un financement sera également fourni pour équiper la Division de l'enseignement technique et professionnel du Collège communautaire.
Il est à noter que Saint-Vincent-et-les-Grenadines a réaffirmé son soutien à l’intégrité territoriale du Maroc, en soulignant que le plan d’autonomie présenté par le Royaume est "une unique solution" pour clore définitivement le différend régional autour du Sahara.
Cette position a été exprimée dans un communiqué conjoint rendu public au terme des entretiens qui ont eu lieu, vendredi à Rabat, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Ralph Gonsalves, en visite de travail dans le Royaume.
Et d'ajouter que le Maroc va installer un consulat à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, les médias du ce pays caribéen, révèle en outre qu'en octobre, une délégation des responsables marocains se rendront à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, pour entamer le processus d'obtention de locaux, a-t-il déclaré dans une interview accordée à l'Agence publique d'Information (API).
"Nous obtiendrons désormais chaque année directement pour les agriculteurs, 500 tonnes d'engrais, passant de 150 tonnes à 500 tonnes que nous distribuerons aux agriculteurs", a déclaré Gonsalves.
Il a déclaré que ce don fait partie de la "feuille de route de la coopération" entre Saint-Vincent-et-les Grenadines et le Maroc.
En dehors de l'agriculture, les deux pays ont convenu de coopérer dans des domaines tels que l'enseignement supérieur et la technologie.
Gonsalves a déclaré que le Maroc avait accepté de fournir un financement de 500 000 dollars pour quelques projets.
"Nous voulons prendre de l'argent pour commencer le processus de conception du laboratoire de science et technologie que nous rattacherons au Collège communautaire, que nous développerons... l'enseignement postsecondaire et universitaire dans ces domaines particuliers", a déclaré Gonsalves.
Un financement sera également fourni pour équiper la Division de l'enseignement technique et professionnel du Collège communautaire.
Il est à noter que Saint-Vincent-et-les-Grenadines a réaffirmé son soutien à l’intégrité territoriale du Maroc, en soulignant que le plan d’autonomie présenté par le Royaume est "une unique solution" pour clore définitivement le différend régional autour du Sahara.
Cette position a été exprimée dans un communiqué conjoint rendu public au terme des entretiens qui ont eu lieu, vendredi à Rabat, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, et le Premier ministre de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, Ralph Gonsalves, en visite de travail dans le Royaume.
Et d'ajouter que le Maroc va installer un consulat à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, les médias du ce pays caribéen, révèle en outre qu'en octobre, une délégation des responsables marocains se rendront à Saint-Vincent-et-les-Grenadines, pour entamer le processus d'obtention de locaux, a-t-il déclaré dans une interview accordée à l'Agence publique d'Information (API).