L'institution financière indique que ce financement s'inscrit dans le cadre de créer un environnement propice à la prestation de services d'éducation de l'enfance de qualité, soutenir l'amélioration des pratiques pédagogiques dans l'enseignement primaire et secondaire, et renforcer la capacité de gestion et la responsabilité tout au long de la chaîne de prestation de services éducatifs dans les zones de programme.
En outre, ce financement sera dédié également aux projets d'investissement visant l'assistance technique nécessaire pour faire avancer la mise en œuvre de réformes plus ambitieuses, le soutien au suivi et à l'évaluation des résultats, et la promotion d'une élaboration des politiques fondée sur des données probantes, précise un rapport établi par la Banque mondiale.
Le programme de ce financement prévoit, de surcroit, la restructuration, l'extension et le financement supplémentaire, qui permettent au PASE de mettre davantage l'accent sur la qualification des enseignants, la mesure de la qualité des services d'éducation de l'enfance et l'introduction de l'apprentissage en groupes à plusieurs niveaux.
"Tous ces efforts sont stratégiquement alignés sur le Cadre de réponse aux crises mondiales dans la mesure où ils soutiennent la résilience du système éducatif et de l'environnement.", lit-on dans le rapport.
Le Maroc a réalisé d'importants progrès sociaux et économiques au cours des deux dernières décennies, précise l'institution financière, grâce à la stabilité politique, d'importants investissements publics et de réformes politiques, institutionnelles et sectorielles. Ces progrès ont généré une baisse significative du taux de pauvreté, une augmentation de l'espérance de vie, un meilleur accès aux services publics de base et un développement important des infrastructures publiques.
Pourtant, malgré ces réalisations, les aspirations accrues des Marocains, en particulier des jeunes, restent insatisfaites. La création d'emplois reste insuffisante, ce qui se traduit par une importante population inactive et le taux d'activité, en particulier celui des femmes, est faible, et les disparités territoriales reflètent de profondes inégalités sociales et économiques, ajoutant que l'indice du capital humain (ICH) du Maroc, mis à jour pour la dernière fois en 2022, reste à 0,50, inférieur à la moyenne de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), mais supérieur à la moyenne des pays à revenu moyen inférieur.
En outre, ce financement sera dédié également aux projets d'investissement visant l'assistance technique nécessaire pour faire avancer la mise en œuvre de réformes plus ambitieuses, le soutien au suivi et à l'évaluation des résultats, et la promotion d'une élaboration des politiques fondée sur des données probantes, précise un rapport établi par la Banque mondiale.
Le programme de ce financement prévoit, de surcroit, la restructuration, l'extension et le financement supplémentaire, qui permettent au PASE de mettre davantage l'accent sur la qualification des enseignants, la mesure de la qualité des services d'éducation de l'enfance et l'introduction de l'apprentissage en groupes à plusieurs niveaux.
"Tous ces efforts sont stratégiquement alignés sur le Cadre de réponse aux crises mondiales dans la mesure où ils soutiennent la résilience du système éducatif et de l'environnement.", lit-on dans le rapport.
Le Maroc a réalisé d'importants progrès sociaux et économiques au cours des deux dernières décennies, précise l'institution financière, grâce à la stabilité politique, d'importants investissements publics et de réformes politiques, institutionnelles et sectorielles. Ces progrès ont généré une baisse significative du taux de pauvreté, une augmentation de l'espérance de vie, un meilleur accès aux services publics de base et un développement important des infrastructures publiques.
Pourtant, malgré ces réalisations, les aspirations accrues des Marocains, en particulier des jeunes, restent insatisfaites. La création d'emplois reste insuffisante, ce qui se traduit par une importante population inactive et le taux d'activité, en particulier celui des femmes, est faible, et les disparités territoriales reflètent de profondes inégalités sociales et économiques, ajoutant que l'indice du capital humain (ICH) du Maroc, mis à jour pour la dernière fois en 2022, reste à 0,50, inférieur à la moyenne de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), mais supérieur à la moyenne des pays à revenu moyen inférieur.