Le forum, marqué par la présence du ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de l’innovation, Azzedine El Midaoui, et de l’Ambassadeur de France au Maroc, Christophe Lecourtier, vise à sensibiliser les institutions, les établissements d’enseignement supérieur et les entreprises marocaines aux nombreux atouts des dispositifs d’alternance, en s’appuyant à la fois sur l’expérience française et sur les premiers projets pilotes lancés au Maroc.
Cette initiative, qui fait suite à la déclaration d’intention bilatérale signée le 28 octobre 2024, lors de la visite d’État au Maroc du Président de la République française, s’inscrit pleinement dans la volonté du ministère de promouvoir la professionnalisation des parcours universitaires, en favorisant une convergence accrue entre le monde académique et les besoins du tissu économique.
Cet événement a été ponctué par la signature de deux conventions, la première, conclue entre le ministère et l’Ambassade de France au Maroc, porte sur le développement de la formation universitaire par alternance, tandis que la deuxième, liant le ministère et l'Institut Français du Maroc, définit les termes et les conditions auxquels les deux parties s’associent dans le cadre d’un partenariat éducatif, culturel et universitaire.
A cette occasion, M. El Midaoui a souligné que cette initiative s’inscrit dans la continuité de la déclaration d’intention bilatérale pour la coopération dans l’éducation, signée le 28 octobre 2024, lors de la visite d’État au Royaume du Maroc du Président de la République française.
Il a, dans ce sens, souligné l’importance de la formation par alternance en tant que levier essentiel pour renforcer l’employabilité des jeunes, expliquant qu’il s’agit d’harmoniser les parcours académiques avec les besoins du secteur industriel et économique, ce qui contribuera à améliorer plusieurs indicateurs clés, notamment l’insertion professionnelle des étudiants.
Le ministre a, en outre, rappelé l’adoption récente du projet de décret permettant le recours à la formation par alternance, conformément aux textes législatifs et réglementaires en vigueur, relevant la nécessité de donner davantage d’importance à la formation par alternance, de manière à élargir son champ d’application et inclure l’ensemble des domaines professionnels.
Pour sa part, M. Lecourtier a indiqué que les ministères de l'enseignement supérieur, de part et d’autre, donnent une nouvelle impulsion au partenariat universitaire bilatéral, en œuvrant ensemble à la mise en place d’un système d’alternance qui permet aux étudiants de poursuivre leurs études tout en étant immergés, chaque semaine, dans le monde de l’entreprise.
En France, durant des décennies, l’entreprise a souvent été perçue comme difficilement accessible par les jeunes diplômés, a-t-il poursuivi, précisant que le dispositif d’alternance permet de lever cette barrière en offrant aux étudiants la possibilité d’acquérir progressivement une expérience professionnelle concrète tout en poursuivant leur cursus académique.
L’ambassadeur s’est également réjoui de voir cette déclaration d’intention se concrétiser à travers une initiative aussi tangible, qui contribuera, selon lui, à renforcer davantage la dynamique économique que connaît le Maroc.
Il a, par ailleurs, salué l’implication des entreprises françaises implantées au Maroc dans ce processus, notant que ces entreprises sont appelées à jouer un rôle pionnier dans le déploiement du système d’alternance, en offrant à des jeunes étudiants marocains des opportunités concrètes d’apprentissage en milieu professionnel.
Quant au président de l'Université Abdelmalek Essaâdi, Bouchta El Moumni, il a relevé que ce forum de l’alternance a pour but d’élaborer plusieurs recommandations destinées aux ministères, aux établissements d’enseignement supérieur et aux entreprises, en vue de l’instauration de la formation en alternance dans plusieurs régions et établissements pilotes.
Ce mode de formation vise à compléter le parcours académique des étudiants par une expérience professionnelle en entreprise, leur permettant ainsi d’acquérir des compétences pratiques tout au long de leur cursus, afin de faciliter leur insertion sur le marché du travail à l’issue de leurs études, a-t-il expliqué.
Les participants ont, à cette occasion, identifié les principaux axes pour l’établissement d’une feuille de route pour la période 2025-2026, incluant, outre la mise en place de formations pilotes, l’accompagnement institutionnel, la clarification du cadre juridique, la mise en relation des établissements académiques avec les entreprises et la mise en place d’incitations à même d’encourager l’implication des entreprises dans les formations par alternance.
Cet événement a réuni plus de 300 représentants de communautés institutionnelles, d’acteurs économiques et de partenaires académiques de part et d’autre, parmi lesquels des présidents d’universités, des représentants d’établissements d’enseignement supérieur marocains et français, ainsi que plusieurs entreprises marocaines et françaises.
Cette initiative, qui fait suite à la déclaration d’intention bilatérale signée le 28 octobre 2024, lors de la visite d’État au Maroc du Président de la République française, s’inscrit pleinement dans la volonté du ministère de promouvoir la professionnalisation des parcours universitaires, en favorisant une convergence accrue entre le monde académique et les besoins du tissu économique.
Cet événement a été ponctué par la signature de deux conventions, la première, conclue entre le ministère et l’Ambassade de France au Maroc, porte sur le développement de la formation universitaire par alternance, tandis que la deuxième, liant le ministère et l'Institut Français du Maroc, définit les termes et les conditions auxquels les deux parties s’associent dans le cadre d’un partenariat éducatif, culturel et universitaire.
A cette occasion, M. El Midaoui a souligné que cette initiative s’inscrit dans la continuité de la déclaration d’intention bilatérale pour la coopération dans l’éducation, signée le 28 octobre 2024, lors de la visite d’État au Royaume du Maroc du Président de la République française.
Il a, dans ce sens, souligné l’importance de la formation par alternance en tant que levier essentiel pour renforcer l’employabilité des jeunes, expliquant qu’il s’agit d’harmoniser les parcours académiques avec les besoins du secteur industriel et économique, ce qui contribuera à améliorer plusieurs indicateurs clés, notamment l’insertion professionnelle des étudiants.
Le ministre a, en outre, rappelé l’adoption récente du projet de décret permettant le recours à la formation par alternance, conformément aux textes législatifs et réglementaires en vigueur, relevant la nécessité de donner davantage d’importance à la formation par alternance, de manière à élargir son champ d’application et inclure l’ensemble des domaines professionnels.
Pour sa part, M. Lecourtier a indiqué que les ministères de l'enseignement supérieur, de part et d’autre, donnent une nouvelle impulsion au partenariat universitaire bilatéral, en œuvrant ensemble à la mise en place d’un système d’alternance qui permet aux étudiants de poursuivre leurs études tout en étant immergés, chaque semaine, dans le monde de l’entreprise.
En France, durant des décennies, l’entreprise a souvent été perçue comme difficilement accessible par les jeunes diplômés, a-t-il poursuivi, précisant que le dispositif d’alternance permet de lever cette barrière en offrant aux étudiants la possibilité d’acquérir progressivement une expérience professionnelle concrète tout en poursuivant leur cursus académique.
L’ambassadeur s’est également réjoui de voir cette déclaration d’intention se concrétiser à travers une initiative aussi tangible, qui contribuera, selon lui, à renforcer davantage la dynamique économique que connaît le Maroc.
Il a, par ailleurs, salué l’implication des entreprises françaises implantées au Maroc dans ce processus, notant que ces entreprises sont appelées à jouer un rôle pionnier dans le déploiement du système d’alternance, en offrant à des jeunes étudiants marocains des opportunités concrètes d’apprentissage en milieu professionnel.
Quant au président de l'Université Abdelmalek Essaâdi, Bouchta El Moumni, il a relevé que ce forum de l’alternance a pour but d’élaborer plusieurs recommandations destinées aux ministères, aux établissements d’enseignement supérieur et aux entreprises, en vue de l’instauration de la formation en alternance dans plusieurs régions et établissements pilotes.
Ce mode de formation vise à compléter le parcours académique des étudiants par une expérience professionnelle en entreprise, leur permettant ainsi d’acquérir des compétences pratiques tout au long de leur cursus, afin de faciliter leur insertion sur le marché du travail à l’issue de leurs études, a-t-il expliqué.
Les participants ont, à cette occasion, identifié les principaux axes pour l’établissement d’une feuille de route pour la période 2025-2026, incluant, outre la mise en place de formations pilotes, l’accompagnement institutionnel, la clarification du cadre juridique, la mise en relation des établissements académiques avec les entreprises et la mise en place d’incitations à même d’encourager l’implication des entreprises dans les formations par alternance.
Cet événement a réuni plus de 300 représentants de communautés institutionnelles, d’acteurs économiques et de partenaires académiques de part et d’autre, parmi lesquels des présidents d’universités, des représentants d’établissements d’enseignement supérieur marocains et français, ainsi que plusieurs entreprises marocaines et françaises.