Cette inscription a été effectuée en présence de l’Ambassadeur, Délégué Permanent du Royaume auprès de l’UNESCO et Vice-Président du Comité, M. Samir Addahre et d’une importante délégation du Ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication conduite par sa Secrétaire Générale, Samira Malizi.
La Dossier «Le Malhoun, un art poético-musical populaire» fait partie des 45 nouvelles candidatures examinées lors des travaux de cette 18ème session du Comité, indique un communiqué de la délégation permanente du Maroc auprès de l’UNESCO.
Son inscription sur la liste du Patrimoine Culturel Immatériel constitue “une reconnaissance par la Communauté internationale des efforts déployés par le Royaume, conformément à la Vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour la préservation et la promotion du Patrimoine culturel marocain, avec la contribution active des communautés d’artistes marocains ayant œuvré à la transmission de génération en génération de cette forme d’expression artistique poético-musicale populaire marocaine séculaire”, ajoute la même source.
Grâce aux sagesses transmises par ses poèmes, le Malhoun constitue la mémoire qui construit l’histoire du Maroc et le trait d’union entre son passé et son présent, rendant nécessaire voire primordiale sa promotion continue et future en le considérant comme point de départ d’un parcours intellectuel reliant les différentes époques du Royaume, relève le communiqué.
La célébration de l’inscription du Malhoun a été marquée par la remise à l’UNESCO par la Délégation marocaine d’un coffret de l’anthologie du Malhoun qui inventorie l’élément sur toutes les régions du Maroc, note-t-on de même source.
De même, elle a été agrémentée par une prestation en live de la célèbre chanteuse marocaine, Majda El Yahyaoui, à la tête d’une troupe d’artistes marocains qui a également animé un imposant side-event auquel ont pris part de nombreux participants, ajoute le communiqué.
Outre ce side-event, les différents Chefs de Délégations, experts internationaux et participants ont pu également apprécier durant toute la période de la session le stand marocain accueillant une exposition vivante du savoir-vivre et savoir-être marocains : cérémonie de thé à la menthe en continue, gâteaux traditionnels marocains, habits traditionnels, éléments de décorations reflétant les savoir-faire marocains, gastronomie marocaine, etc. En somme, des éléments de l’hospitalité marocaine qui puise dans les valeurs et les connaissances du patrimoine culturel immatériel du Maroc.
Une deuxième consécration du patrimoine immatériel marocain a également marqué les travaux de la 18ème session du Comité avec l’inscription d’un autre élément présenté en dossier commun avec les Etats arabes, à savoir «Les arts, savoir-faire et pratiques associés à la gravure sur métaux (or, argent et cuivre)» dont le Royaume fait partie des Etats soumissionnaires.
“Le Malhoun est un patrimoine traditionnel ancien mais il a su très bien s’adapter aux changements de la société marocaine. Je suis sûr qu'avec cette inscription il y aura un regain d'intérêt pour ce genre musical et que les plus jeunes, en particulier, s'y intéresseront et lui donneront un élan nouveau, ce qui ne pourra qu’en assurer la sauvegarde durable”, a déclaré Eric Falt, Directeur du Bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, dans une vidéo sur le réseaux social X.
“Félicitations chaleureuses à tous ceux qui ont porté ce dossier d’inscription auprès de l’UNESCO”, a-t-il dit.
La Dossier «Le Malhoun, un art poético-musical populaire» fait partie des 45 nouvelles candidatures examinées lors des travaux de cette 18ème session du Comité, indique un communiqué de la délégation permanente du Maroc auprès de l’UNESCO.
Son inscription sur la liste du Patrimoine Culturel Immatériel constitue “une reconnaissance par la Communauté internationale des efforts déployés par le Royaume, conformément à la Vision clairvoyante de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour la préservation et la promotion du Patrimoine culturel marocain, avec la contribution active des communautés d’artistes marocains ayant œuvré à la transmission de génération en génération de cette forme d’expression artistique poético-musicale populaire marocaine séculaire”, ajoute la même source.
Grâce aux sagesses transmises par ses poèmes, le Malhoun constitue la mémoire qui construit l’histoire du Maroc et le trait d’union entre son passé et son présent, rendant nécessaire voire primordiale sa promotion continue et future en le considérant comme point de départ d’un parcours intellectuel reliant les différentes époques du Royaume, relève le communiqué.
La célébration de l’inscription du Malhoun a été marquée par la remise à l’UNESCO par la Délégation marocaine d’un coffret de l’anthologie du Malhoun qui inventorie l’élément sur toutes les régions du Maroc, note-t-on de même source.
De même, elle a été agrémentée par une prestation en live de la célèbre chanteuse marocaine, Majda El Yahyaoui, à la tête d’une troupe d’artistes marocains qui a également animé un imposant side-event auquel ont pris part de nombreux participants, ajoute le communiqué.
Outre ce side-event, les différents Chefs de Délégations, experts internationaux et participants ont pu également apprécier durant toute la période de la session le stand marocain accueillant une exposition vivante du savoir-vivre et savoir-être marocains : cérémonie de thé à la menthe en continue, gâteaux traditionnels marocains, habits traditionnels, éléments de décorations reflétant les savoir-faire marocains, gastronomie marocaine, etc. En somme, des éléments de l’hospitalité marocaine qui puise dans les valeurs et les connaissances du patrimoine culturel immatériel du Maroc.
Une deuxième consécration du patrimoine immatériel marocain a également marqué les travaux de la 18ème session du Comité avec l’inscription d’un autre élément présenté en dossier commun avec les Etats arabes, à savoir «Les arts, savoir-faire et pratiques associés à la gravure sur métaux (or, argent et cuivre)» dont le Royaume fait partie des Etats soumissionnaires.
“Le Malhoun est un patrimoine traditionnel ancien mais il a su très bien s’adapter aux changements de la société marocaine. Je suis sûr qu'avec cette inscription il y aura un regain d'intérêt pour ce genre musical et que les plus jeunes, en particulier, s'y intéresseront et lui donneront un élan nouveau, ce qui ne pourra qu’en assurer la sauvegarde durable”, a déclaré Eric Falt, Directeur du Bureau de l’UNESCO pour le Maghreb, dans une vidéo sur le réseaux social X.
“Félicitations chaleureuses à tous ceux qui ont porté ce dossier d’inscription auprès de l’UNESCO”, a-t-il dit.