Selon l'avis consultatif du CSEFRS, les dispositions du projet de loi susmentionné ne définissent pas les mesures et les politiques publiques à adopter dans le but de restructurer et organiser l'enseignement primaire, et la mise en œuvre des politiques de discrimination positive, une action qui vise à instituer des inégalités pour promouvoir l’égalité en accordant à certains apprenants un traitement préférentiel.
La pandémie de COVID-19 et l'adoption du mode d'enseignement à distance ont entraîné une détérioration significative des inégalités en matière d'éducation dans l'enseignement, provoquant la pire crise de l'éducation et des apprentissages. Conscient de cette situation, le Conseil a appelé la tutelle à prendre en considération la dimension numérique dans l'enseignement, et à mettre en place un cadre juridique qui définit les fondements de la transformation numérique dans le domaine éducatif.
La même source a souligné parmi ses recommandations, qu'au vu des dispositions de la Constitution, et conformément aux pactes internationaux relatifs aux droits de l'Homme et aux droits de l'enfant ratifiés par le Maroc, et sur la base des exigences de la loi-cadre 51.17, il est nécessaire de « mettre en évidence l'engagement des missions étrangères au Maroc, établi dans le cadre d'accords bilatéraux de coopération internationale, en matière d'enseignement des deux langues officielles du Royaume, l'arabe et l'amazigh, à tous les élèves marocains qui y poursuivent leurs études ».
Le Conseil a également mis en avant l'impératif d'introduire dans ces établissements des matières qui initient les élèves marocains à leur Histoire, leur culture et leur identité nationale, conformément aux dispositions de ladite loi.
A cet égard, le Conseil a recommandé que le projet de loi comprenne des dispositions législatives qui définissent une politique publique d'éducation inclusive et les catégories de ses bénéficiaires, dont les enfants handicapés ou en situation particulière, notant qu'il est impératif d'accorder une attention particulière à ces catégories et leur garantir le droit à la scolarisation, la formation et une réadaptation appropriée conduisant à leur insertion dans la société.
La pandémie de COVID-19 et l'adoption du mode d'enseignement à distance ont entraîné une détérioration significative des inégalités en matière d'éducation dans l'enseignement, provoquant la pire crise de l'éducation et des apprentissages. Conscient de cette situation, le Conseil a appelé la tutelle à prendre en considération la dimension numérique dans l'enseignement, et à mettre en place un cadre juridique qui définit les fondements de la transformation numérique dans le domaine éducatif.
La même source a souligné parmi ses recommandations, qu'au vu des dispositions de la Constitution, et conformément aux pactes internationaux relatifs aux droits de l'Homme et aux droits de l'enfant ratifiés par le Maroc, et sur la base des exigences de la loi-cadre 51.17, il est nécessaire de « mettre en évidence l'engagement des missions étrangères au Maroc, établi dans le cadre d'accords bilatéraux de coopération internationale, en matière d'enseignement des deux langues officielles du Royaume, l'arabe et l'amazigh, à tous les élèves marocains qui y poursuivent leurs études ».
Le Conseil a également mis en avant l'impératif d'introduire dans ces établissements des matières qui initient les élèves marocains à leur Histoire, leur culture et leur identité nationale, conformément aux dispositions de ladite loi.
A cet égard, le Conseil a recommandé que le projet de loi comprenne des dispositions législatives qui définissent une politique publique d'éducation inclusive et les catégories de ses bénéficiaires, dont les enfants handicapés ou en situation particulière, notant qu'il est impératif d'accorder une attention particulière à ces catégories et leur garantir le droit à la scolarisation, la formation et une réadaptation appropriée conduisant à leur insertion dans la société.