Le Conseil national des droits de l’homme a annoncé le déploiement d’un nouveau projet qui consiste en la mise en place d’une nouvelle division auprès de sa présidence, dédiée aux questions relatives à la technologique et à la sphère numérique, en rapport avec les droits de l’Homme.
Dans un communiqué, le conseil indique que cette initiative prendra en charge les diverses missions d’observation, de suivi et de renforcement des capacités sur le terrain pour déployer ce nouveau service.
Ainsi, le nouveau service, créé en vertu des dispositions de la loi N 76-15 relative à la réorganisation du CNDH et de son règlement intérieur, va prendre en charge les attributions fondamentales en conformité avec la vision du conseil et son approche relatives à la protection contre toutes formes de violation des droits de l’Homme en relation avec la technologie et l’espace numérique.
A cette occasion, Amina Bouayach, la présidente du CNDH, n’a pas manqué de souligner que « la création de ce service intervient en réponse aux préoccupations du conseil quant aux questions des libertés et son accompagnement de la dynamique technologique et numérique, en rapport avec les droits de l’Homme dans les divers niveaux national, continental et international».
Et d’ajouter, dans ce sens, que « la question de l’internet et du numérique représente une importante priorité dans le contexte actuel de mutation technologique ».
Les innovations apportées créent en effet un climat propice et favorable, mais constituent en même temps « un danger de part la mise en place et l’utilisation qui peut porter atteinte au système des droits de l’Homme et des libertés individuelles».
«C’est pour cette raison que le conseil a opté pour l’inauguration d’une nouvelle phase dans son approche de travail, à travers la création de cette nouvelle structure qui vise à accompagner les développements technologique et numérique ainsi que leurs répercussions sur la protection des droits de l’Homme», a-t-elle poursuivi.
Établie directement auprès de la présidente du CNDH, la nouvelle division chapeautera des missions diverses et stratégiques liées à l’ère digitale et au développement exponentiel des nouvelles technologies de communication.
Les missions de cette division traduisent l’importance accordée par le CNDH aux défis qui continuent de susciter des inquiétudes profondes, notamment en ce qui a trait à l’utilisation de l’espace numérique, des algorithmes et du discours hostile aux principes universels des droits de l’homme.
Dans ce même sillage, il serait important de rappeler que la mise en place d’un service dédié aux questions de la technologie, de la sphère numérique et des droits de l’Homme s’inscrit dans le cadre d’un processus enclenché depuis longtemps par le CNDH.
Cette démarche s’inscrit dans l’ambition d’observer les effets de l’utilisation de la technologie et de veiller à la prise en charge des maints défis liés aux impacts et retentissements du numérique sur les droits de l’Homme.
Dans un communiqué, le conseil indique que cette initiative prendra en charge les diverses missions d’observation, de suivi et de renforcement des capacités sur le terrain pour déployer ce nouveau service.
Ainsi, le nouveau service, créé en vertu des dispositions de la loi N 76-15 relative à la réorganisation du CNDH et de son règlement intérieur, va prendre en charge les attributions fondamentales en conformité avec la vision du conseil et son approche relatives à la protection contre toutes formes de violation des droits de l’Homme en relation avec la technologie et l’espace numérique.
A cette occasion, Amina Bouayach, la présidente du CNDH, n’a pas manqué de souligner que « la création de ce service intervient en réponse aux préoccupations du conseil quant aux questions des libertés et son accompagnement de la dynamique technologique et numérique, en rapport avec les droits de l’Homme dans les divers niveaux national, continental et international».
Et d’ajouter, dans ce sens, que « la question de l’internet et du numérique représente une importante priorité dans le contexte actuel de mutation technologique ».
Les innovations apportées créent en effet un climat propice et favorable, mais constituent en même temps « un danger de part la mise en place et l’utilisation qui peut porter atteinte au système des droits de l’Homme et des libertés individuelles».
«C’est pour cette raison que le conseil a opté pour l’inauguration d’une nouvelle phase dans son approche de travail, à travers la création de cette nouvelle structure qui vise à accompagner les développements technologique et numérique ainsi que leurs répercussions sur la protection des droits de l’Homme», a-t-elle poursuivi.
Établie directement auprès de la présidente du CNDH, la nouvelle division chapeautera des missions diverses et stratégiques liées à l’ère digitale et au développement exponentiel des nouvelles technologies de communication.
Les missions de cette division traduisent l’importance accordée par le CNDH aux défis qui continuent de susciter des inquiétudes profondes, notamment en ce qui a trait à l’utilisation de l’espace numérique, des algorithmes et du discours hostile aux principes universels des droits de l’homme.
Dans ce même sillage, il serait important de rappeler que la mise en place d’un service dédié aux questions de la technologie, de la sphère numérique et des droits de l’Homme s’inscrit dans le cadre d’un processus enclenché depuis longtemps par le CNDH.
Cette démarche s’inscrit dans l’ambition d’observer les effets de l’utilisation de la technologie et de veiller à la prise en charge des maints défis liés aux impacts et retentissements du numérique sur les droits de l’Homme.
