Les 14 et 15 mai 2025, la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Laâyoune accueille le 2ᵉ Symposium international du don d’organes et de la transplantation, une initiative de la Société Marocaine pour les Thérapies Régénératives (MSRT).
Un rendez-vous crucial, à la croisée de la science, de l’éthique et de la géopolitique sanitaire.
L’Objectif est d’installer durablement la médecine régénérative dans les régions du Sud, au service du Maroc et de l’Afrique, souligne le Pr Najib Al Idrissi, président de la MSRT.
Deux chantiers stratégiques au cœur du symposium : La création d’une banque d’os, indispensable pour reconstruire os longs et articulations après traumatismes, cancers ou malformations. Et, la greffe hépatique, dernier rempart contre l’insuffisance hépatique terminale, sauvant chaque année des milliers de vies.
Au-delà des prouesses médicales, les participants débattront des défis réglementaires, administratifs, éthiques et religieux, clefs de voûte de l’acceptation et du développement durable de ces pratiques.
La Doyenne, Pr Fatima Zahra Alaoui, affirme une ambition claire : faire de Laâyoune un centre de référence en sciences médicales, à la hauteur de Rabat, Casablanca ou autre capitale Européenne.
Un rendez-vous crucial, à la croisée de la science, de l’éthique et de la géopolitique sanitaire.
L’Objectif est d’installer durablement la médecine régénérative dans les régions du Sud, au service du Maroc et de l’Afrique, souligne le Pr Najib Al Idrissi, président de la MSRT.
Deux chantiers stratégiques au cœur du symposium : La création d’une banque d’os, indispensable pour reconstruire os longs et articulations après traumatismes, cancers ou malformations. Et, la greffe hépatique, dernier rempart contre l’insuffisance hépatique terminale, sauvant chaque année des milliers de vies.
Au-delà des prouesses médicales, les participants débattront des défis réglementaires, administratifs, éthiques et religieux, clefs de voûte de l’acceptation et du développement durable de ces pratiques.
La Doyenne, Pr Fatima Zahra Alaoui, affirme une ambition claire : faire de Laâyoune un centre de référence en sciences médicales, à la hauteur de Rabat, Casablanca ou autre capitale Européenne.