La Fédération nationale des propriétaires, commerçants et gérants de stations-service (FNPCGS) est donc résolue à lutter contre cette pratique illégale.
Cette semaine, l'organisation professionnelle a déposé sa première plainte auprès du Procureur du roi près du tribunal de première instance de Rabat, visant le propriétaire d'un camion-citerne offrant un service de livraison de carburant à domicile, incluant la possibilité de paiement par carte bancaire via un terminal de paiement électronique (TPE).
Simultanément, la FNPCGS a sollicité la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, sollicitant son intervention afin de mettre un terme à cette pratique considérée comme à la fois « dangereuse et illégale ».
Les acteurs professionnels expriment ainsi leur volonté de sensibiliser à la gravité et aux dangers inhérents à ces méthodes, mettant en avant également leurs répercussions néfastes sur l'économie nationale et les préjudices infligés aux opérateurs évoluant dans le secteur formel.
La FNPCGS maintient une position ferme de rejet envers ces pratiques, perçues comme des violations des règles de concurrence. Elle sollicite avec insistance l'intervention de la ministre de tutelle, appelant à l'ouverture d'une enquête visant à évaluer l'ampleur de ce phénomène. L'objectif est de garantir la conformité de ces pratiques aux normes de qualité et de sécurité édictées par les autorités.
Cette semaine, l'organisation professionnelle a déposé sa première plainte auprès du Procureur du roi près du tribunal de première instance de Rabat, visant le propriétaire d'un camion-citerne offrant un service de livraison de carburant à domicile, incluant la possibilité de paiement par carte bancaire via un terminal de paiement électronique (TPE).
Simultanément, la FNPCGS a sollicité la ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, Leila Benali, sollicitant son intervention afin de mettre un terme à cette pratique considérée comme à la fois « dangereuse et illégale ».
Les acteurs professionnels expriment ainsi leur volonté de sensibiliser à la gravité et aux dangers inhérents à ces méthodes, mettant en avant également leurs répercussions néfastes sur l'économie nationale et les préjudices infligés aux opérateurs évoluant dans le secteur formel.
La FNPCGS maintient une position ferme de rejet envers ces pratiques, perçues comme des violations des règles de concurrence. Elle sollicite avec insistance l'intervention de la ministre de tutelle, appelant à l'ouverture d'une enquête visant à évaluer l'ampleur de ce phénomène. L'objectif est de garantir la conformité de ces pratiques aux normes de qualité et de sécurité édictées par les autorités.
