
La Commission des infrastructures, de l’énergie, des mines et de l’environnement de la Chambre des représentants a fixé mercredi prochain une nouvelle date pour discuter d’un certain nombre de questions liées à la sécurité énergétique, notamment la hausse continue des prix des carburants au Maroc, en présence de Leila Benali, ministre de la Transition énergétique et du Développement durable, selon le mémorandum de la Chambre des représentants.
Le report de la réunion susmentionnée, lundi dernier, a provoqué un tollé, l’opposition accusant le gouvernement d’avoir tenté d’esquiver la discussion, tandis que ce dernier rassure qu’il n’a aucun problème à discuter de la question, d’autant plus que le Maroc n’est pas un pays producteur de pétrole, ajoutant que la ministre a demandé le report en raison d’autres obligations.
«Tous les pays du monde se plaignent de la hausse spectaculaire du prix de cette substance, qui a augmenté de manière significative par rapport au Maroc en raison des tensions que certains pays connaissent», a affirmé Mustapha Baitas, ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé des Relations avec le parlement, Porte-parole du gouvernement lors du point de presse qui a suivi la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement, jeudi dernier.
Outre le thème des hausses successives des prix des carburants sur le marché national ces derniers temps, et la gestion des réserves énergétiques du Royaume à la lumière des répercussions de la crise ukrainienne sur l’économie mondiale, la réunion discutera également du programme de travail du gouvernement et des mesures accompagnant l’implémentation de la stratégie énergétique visant à accélérer d’adoption des solutions durables et renforcer la sécurité énergétique. La question de l’exploitation du gaz naturel au Maroc sera également abordée afin d’éclaircir ses perspectives et ses enjeux à la lumière des données du rapport du Conseil de la Concurrence R/14/2021 rendu en janvier 2021, ainsi que les résultats des travaux d’exploration pour extraire le gaz naturel dans un certain nombre de régions du Royaume, et les efforts déployés dans les domaines de la production et de la commercialisation de cette substance vitale, extraite de plusieurs puits déjà exploités.
Dans ce contexte, les groupes majoritaires ont également déposé une demande pour discuter des raisons de la hausse des prix de l’énergie et des mesures prises pour éviter leur impact sur le pouvoir d’achat du citoyen, lors de cette réunion, en plus de discuter du statut de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEP), de sa stratégie future et de la gestion des réserves énergétiques et hydriques dans ce contexte marqué par la sécheresse et les répercussions économiques de la crise ukrainienne.
Le report de la réunion susmentionnée, lundi dernier, a provoqué un tollé, l’opposition accusant le gouvernement d’avoir tenté d’esquiver la discussion, tandis que ce dernier rassure qu’il n’a aucun problème à discuter de la question, d’autant plus que le Maroc n’est pas un pays producteur de pétrole, ajoutant que la ministre a demandé le report en raison d’autres obligations.
«Tous les pays du monde se plaignent de la hausse spectaculaire du prix de cette substance, qui a augmenté de manière significative par rapport au Maroc en raison des tensions que certains pays connaissent», a affirmé Mustapha Baitas, ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé des Relations avec le parlement, Porte-parole du gouvernement lors du point de presse qui a suivi la réunion hebdomadaire du Conseil de gouvernement, jeudi dernier.
Outre le thème des hausses successives des prix des carburants sur le marché national ces derniers temps, et la gestion des réserves énergétiques du Royaume à la lumière des répercussions de la crise ukrainienne sur l’économie mondiale, la réunion discutera également du programme de travail du gouvernement et des mesures accompagnant l’implémentation de la stratégie énergétique visant à accélérer d’adoption des solutions durables et renforcer la sécurité énergétique. La question de l’exploitation du gaz naturel au Maroc sera également abordée afin d’éclaircir ses perspectives et ses enjeux à la lumière des données du rapport du Conseil de la Concurrence R/14/2021 rendu en janvier 2021, ainsi que les résultats des travaux d’exploration pour extraire le gaz naturel dans un certain nombre de régions du Royaume, et les efforts déployés dans les domaines de la production et de la commercialisation de cette substance vitale, extraite de plusieurs puits déjà exploités.
Dans ce contexte, les groupes majoritaires ont également déposé une demande pour discuter des raisons de la hausse des prix de l’énergie et des mesures prises pour éviter leur impact sur le pouvoir d’achat du citoyen, lors de cette réunion, en plus de discuter du statut de l’Office National de l’Electricité et de l’Eau Potable (ONEP), de sa stratégie future et de la gestion des réserves énergétiques et hydriques dans ce contexte marqué par la sécheresse et les répercussions économiques de la crise ukrainienne.