
Dans un élan d’engagement civique et de présence étatique accrue dans les territoires périphériques, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a entrepris une opération d’envergure destinée à garantir aux élèves des zones reculées l’obtention de la carte nationale d’identité électronique, indispensable à leur participation aux épreuves du baccalauréat.
Mobilisant des unités itinérantes dûment équipées, cette action s’adresse en priorité aux jeunes filles issues de régions difficiles d’accès, telles qu’Imzouren, Amerzgane, Tiznit, Aghbala, Ouarzazate, Skoura et Sidi Kacem. L’objectif avoué est d’alléger le fardeau logistique de familles souvent démunies face aux lourdeurs administratives, en leur évitant des déplacements onéreux et chronophages vers les centres urbains.
La DGSN, à travers cette présence active sur le terrain, donne corps à une conception renouvelée de l’action publique. Derrière cette opération se dessine une philosophie nouvelle du service public policier où la sécurité s’entrelace avec la solidarité. Ce dispositif illustre une volonté ferme d’inscrire l’action des forces de l’ordre dans une temporalité humaine en anticipant les défis des mutations sociétales et technologiques.
Cette démarche marque une avancée significative dans la quête d’une justice territoriale, dans laquelle l’administration cesse d’être une forteresse pour devenir un visage familier, présent, et accessible.
Mobilisant des unités itinérantes dûment équipées, cette action s’adresse en priorité aux jeunes filles issues de régions difficiles d’accès, telles qu’Imzouren, Amerzgane, Tiznit, Aghbala, Ouarzazate, Skoura et Sidi Kacem. L’objectif avoué est d’alléger le fardeau logistique de familles souvent démunies face aux lourdeurs administratives, en leur évitant des déplacements onéreux et chronophages vers les centres urbains.
La DGSN, à travers cette présence active sur le terrain, donne corps à une conception renouvelée de l’action publique. Derrière cette opération se dessine une philosophie nouvelle du service public policier où la sécurité s’entrelace avec la solidarité. Ce dispositif illustre une volonté ferme d’inscrire l’action des forces de l’ordre dans une temporalité humaine en anticipant les défis des mutations sociétales et technologiques.
Cette démarche marque une avancée significative dans la quête d’une justice territoriale, dans laquelle l’administration cesse d’être une forteresse pour devenir un visage familier, présent, et accessible.