Dans son rapport, la Cour des Comptes a pointé du doigt le manque de compétences et de certaines spécialisations nécessaires à la mise en œuvre des stratégies et des programmes publics en plus du développement et de l'amélioration des services fournis au niveau des régions.
« Ces contraintes découlent de la faible attractivité de l'administration, au niveau territorial, et de l’absence de critères spécifiques et appropriés pour motiver les ressources humaines », explique la Cour.
En termes de coordination au niveau de la région, la Cour des Comptes préconise le regrouper les différents acteurs institutionnels, au niveau territorial, en pôles sectoriels, dans la mesure où cette démarche permettra de garantir la cohérence et la convergence entre les programmes et projets de développement à caractère national ou territorial, ainsi que d’accroître leur impact sur le citoyen.
Cette démarche intervient dans l’attente de la mise en place de toutes les représentations administratives communes, et de l'activation du comité régional de coordination, auprès du Wali de la Région, ainsi que du rôle des Agences régionales d’exécution des projets, y compris la mise en place de leurs structures et la mobilisation des ressources humaines et financières nécessaires, pour accompagner les Conseils des régions.
En ce qui concerne l'exploitation des données en vue d’améliorer la gestion des programmes, des projets et des services, la Cour a relevé que les données disponibles au niveau territorial présentent souvent des lacunes en termes d'exhaustivité, d’homogénéité et de fiabilité, compte tenu du retard enregistré dans la généralisation de la numérisation et des technologies modernes.
A cela, s’ajoute l’absence de mécanismes pour favoriser la collaboration entre les Régions et les milieux académiques, tels que les universités, les instituts et les écoles d’ingénierie. Ce constat prive les acteurs régionaux d’opportunités de bénéficier de projets de développement intégrant les dimensions géographiques, sociales et culturelles, qui sont spécifiques au territoire concerné, selon l’organisme chargé du contrôle de la régularité des comptes publics.
« Ces contraintes découlent de la faible attractivité de l'administration, au niveau territorial, et de l’absence de critères spécifiques et appropriés pour motiver les ressources humaines », explique la Cour.
En termes de coordination au niveau de la région, la Cour des Comptes préconise le regrouper les différents acteurs institutionnels, au niveau territorial, en pôles sectoriels, dans la mesure où cette démarche permettra de garantir la cohérence et la convergence entre les programmes et projets de développement à caractère national ou territorial, ainsi que d’accroître leur impact sur le citoyen.
Cette démarche intervient dans l’attente de la mise en place de toutes les représentations administratives communes, et de l'activation du comité régional de coordination, auprès du Wali de la Région, ainsi que du rôle des Agences régionales d’exécution des projets, y compris la mise en place de leurs structures et la mobilisation des ressources humaines et financières nécessaires, pour accompagner les Conseils des régions.
En ce qui concerne l'exploitation des données en vue d’améliorer la gestion des programmes, des projets et des services, la Cour a relevé que les données disponibles au niveau territorial présentent souvent des lacunes en termes d'exhaustivité, d’homogénéité et de fiabilité, compte tenu du retard enregistré dans la généralisation de la numérisation et des technologies modernes.
A cela, s’ajoute l’absence de mécanismes pour favoriser la collaboration entre les Régions et les milieux académiques, tels que les universités, les instituts et les écoles d’ingénierie. Ce constat prive les acteurs régionaux d’opportunités de bénéficier de projets de développement intégrant les dimensions géographiques, sociales et culturelles, qui sont spécifiques au territoire concerné, selon l’organisme chargé du contrôle de la régularité des comptes publics.