
Suite au transfert par le Maroc de drones obtenus auprès de la Turquie vers sa base militaire d'Al-Aroui à Nador, à quelque 30 kilomètres de Melilla, la ministre de la défense espagnole, Margarita Robles, a été saisie par Europa Press pour commenter l'affaire.
A cet égard, la responsable a « exclu de modifier sa stratégie vis-à-vis des deux villes », notant qu’il s’agit d’une « affaire intérieure du Maroc », et que « le pays voisin mérite le plus grand des respects ».
Commentant la stratégie de renforcement et de modernisation d'armement, menée par le Royaume ces années, la ministre a nuancé que l'Espagne reste rassurée du fait que sa politique de défense fait partie intégrante de l'UE et de L'Organisation du traité de l'atlantique nord (OTAN).
La sortie médiatique de la ministre espagnole intervient dans le cadre de l’important intérêt accordé par les médias espagnols aux négociations avancées entre le Maroc et la Turquie pour l’acquisition de 22 hélicoptères d’attaque T129 ATAK pour une valeur de 1,3 milliard de dollars, ainsi que 12 drones turcs pour, croient savoir les médias espagnols, surveiller les frontières de Sebta et Melilla.
Il est à noter que selon des sources expertes en sécurité, tous les appareils que le Maroc a acquis sont des « drones intelligents » pouvant être exploités dans diverses missions, notamment en matière de surveillance du territoire et lutte contre le traffic et l'immigration.
A cet égard, la responsable a « exclu de modifier sa stratégie vis-à-vis des deux villes », notant qu’il s’agit d’une « affaire intérieure du Maroc », et que « le pays voisin mérite le plus grand des respects ».
Commentant la stratégie de renforcement et de modernisation d'armement, menée par le Royaume ces années, la ministre a nuancé que l'Espagne reste rassurée du fait que sa politique de défense fait partie intégrante de l'UE et de L'Organisation du traité de l'atlantique nord (OTAN).
La sortie médiatique de la ministre espagnole intervient dans le cadre de l’important intérêt accordé par les médias espagnols aux négociations avancées entre le Maroc et la Turquie pour l’acquisition de 22 hélicoptères d’attaque T129 ATAK pour une valeur de 1,3 milliard de dollars, ainsi que 12 drones turcs pour, croient savoir les médias espagnols, surveiller les frontières de Sebta et Melilla.
Il est à noter que selon des sources expertes en sécurité, tous les appareils que le Maroc a acquis sont des « drones intelligents » pouvant être exploités dans diverses missions, notamment en matière de surveillance du territoire et lutte contre le traffic et l'immigration.