Après avoir organisé le Championnat d’Europe masculin en 2024 avec brio, l’Allemagne s’est vue attribuer l’organisation du tournoi de l’équivalent féminin en 2029.
Géant du football féminin, le pays a remporté l’Euro à 8 reprises, avec une domination totale sur le tournoi dans les années 90 et 2000. L’Allemagne a également accueilli deux Euros féminins en 1989 et 2001, ainsi qu’une Coupe du monde féminine en 2011.
Cette nouvelle tombe comme une revanche alors que la nation germanique avait été devancée par le Brésil en 2024 afin d’héberger le Mondial 2027.
Les rencontres de cet Euro se dérouleront à l’été 2029 dans huit enceintes différentes, capables d’accueillir un grand nombre de spectateurs : Wolfsburg, Leipzig, Dortmund, Cologne, Hanovre, Düsseldorf, Francfort et Munich seront de la partie.
D’ailleurs, l’objectif assumé sera de vendre plus d’un million de billets, afin d’atteindre la rentabilité, chose que l’Euro féminin, qui demeure déficitaire, peine encore à faire. En effet, environ 650.000 billets avaient été vendus en Suisse en 2024, un résultat insuffisant malgré un succès populaire croissant. Bernd Neuendorf, patron de la Fédération allemande de football (DFB), avait récemment déclaré dans ce sens : « Nous avons les grandes arènes et je suis convaincu que nous pouvons les remplir. »
De leur côté, l’Italie et le Portugal avaient retiré leurs candidatures pour mieux se concentrer sur la coorganisation de deux tournois masculins majeurs, à savoir l’Euro 2032 avec la Turquie pour la première et la Coupe du monde 2030 avec l’Espagne et le Maroc pour le second.
Géant du football féminin, le pays a remporté l’Euro à 8 reprises, avec une domination totale sur le tournoi dans les années 90 et 2000. L’Allemagne a également accueilli deux Euros féminins en 1989 et 2001, ainsi qu’une Coupe du monde féminine en 2011.
Cette nouvelle tombe comme une revanche alors que la nation germanique avait été devancée par le Brésil en 2024 afin d’héberger le Mondial 2027.
Objectif rentabilité
Les rencontres de cet Euro se dérouleront à l’été 2029 dans huit enceintes différentes, capables d’accueillir un grand nombre de spectateurs : Wolfsburg, Leipzig, Dortmund, Cologne, Hanovre, Düsseldorf, Francfort et Munich seront de la partie.
D’ailleurs, l’objectif assumé sera de vendre plus d’un million de billets, afin d’atteindre la rentabilité, chose que l’Euro féminin, qui demeure déficitaire, peine encore à faire. En effet, environ 650.000 billets avaient été vendus en Suisse en 2024, un résultat insuffisant malgré un succès populaire croissant. Bernd Neuendorf, patron de la Fédération allemande de football (DFB), avait récemment déclaré dans ce sens : « Nous avons les grandes arènes et je suis convaincu que nous pouvons les remplir. »
De leur côté, l’Italie et le Portugal avaient retiré leurs candidatures pour mieux se concentrer sur la coorganisation de deux tournois masculins majeurs, à savoir l’Euro 2032 avec la Turquie pour la première et la Coupe du monde 2030 avec l’Espagne et le Maroc pour le second.




















