Elle constitue un pilier stratégique, essentiel à la modernisation d’un club, capable de fédérer, fidéliser et susciter l’engagement.
Pourtant, au Kawkab Athlétique Club de Marrakech, cet axe vital semble relégué au dernier rang des priorités. Les dirigeants actuels paraissent peu sensibles à l’importance de la communication sportive et semblent ignorer ses impacts positifs. La création d’une cellule médiatique n’a guère changé la donne.
Elle fonctionne sans vision, ni efficacité, limitée à quelques publications sporadiques sur les réseaux sociaux, dépourvues de cohérence et de stratégie.
Cette quasi-absence du paysage médiatique donne l’impression qu’elle n’existe que sur le papier, sans initiative concrète ni interaction réelle avec les supporters.
Existe-t-il une véritable tension entre les dirigeants du KACM et les médias ? Tout laisse à le croire.
Le verrouillage de l’information est devenu la norme, compromettant le travail du journalisme sportif. La diffusion sélective des nouvelles sur les réseaux sociaux, combinée à un choix restreint et discutable de certains canaux de presse, s’apparente à une dérive qui fragilise le club plutôt que de le servir.
Il y a trente-cinq ans, sous la direction du grand dirigeant Haj Mohamed Mediouri, le club entretenait un rapport fort et sain avec la presse.
Aujourd’hui, la situation a radicalement changé. Les supporters s’interrogent : le KACM dispose-t-il réellement d’un comité capable de mener l’équipe de la ville ocre vers des horizons prometteurs ?
Les inquiétudes se multiplient, notamment face à une gestion marquée par l’absence d’un président installé ailleurs, et des commissions dont l’efficacité reste à prouver!
L’état des lieux, sombre et confus, laisse planer un doute sérieux sur la capacité actuelle du comité à atteindre les objectifs annoncés lors de la dernière assemblée générale. Dans ce climat, les fans sont privés d’informations fiables, alors même que l’équipe traverse une période de changements radicaux.
Un point de presse devient indispensable : il permettrait de renforcer la communication avec les médias, de présenter une image positive de l’équipe et d’aborder des sujets essentiels tels que l’évaluation des dernières rencontres, la situation financière, les problèmes d’arbitrage, la prochaine concentration de l équipe à Oujda , le licenciement de certains joueurs et le recrutement de nouveaux joueurs capables d’ajouter un plus à l’équipe ainsi que la vision du club pour l’avenir.
Le temps du silence est révolu. Il est grand temps que les responsables du KACM prennent la parole et éclairent enfin les supporters sur ce qui se trame au sein d’un club qui fait partie intégrante du cœur de la ville ocre.
À bon entendeur…Salut!
Pourtant, au Kawkab Athlétique Club de Marrakech, cet axe vital semble relégué au dernier rang des priorités. Les dirigeants actuels paraissent peu sensibles à l’importance de la communication sportive et semblent ignorer ses impacts positifs. La création d’une cellule médiatique n’a guère changé la donne.
Elle fonctionne sans vision, ni efficacité, limitée à quelques publications sporadiques sur les réseaux sociaux, dépourvues de cohérence et de stratégie.
Cette quasi-absence du paysage médiatique donne l’impression qu’elle n’existe que sur le papier, sans initiative concrète ni interaction réelle avec les supporters.
Existe-t-il une véritable tension entre les dirigeants du KACM et les médias ? Tout laisse à le croire.
Le verrouillage de l’information est devenu la norme, compromettant le travail du journalisme sportif. La diffusion sélective des nouvelles sur les réseaux sociaux, combinée à un choix restreint et discutable de certains canaux de presse, s’apparente à une dérive qui fragilise le club plutôt que de le servir.
Il y a trente-cinq ans, sous la direction du grand dirigeant Haj Mohamed Mediouri, le club entretenait un rapport fort et sain avec la presse.
Aujourd’hui, la situation a radicalement changé. Les supporters s’interrogent : le KACM dispose-t-il réellement d’un comité capable de mener l’équipe de la ville ocre vers des horizons prometteurs ?
Les inquiétudes se multiplient, notamment face à une gestion marquée par l’absence d’un président installé ailleurs, et des commissions dont l’efficacité reste à prouver!
L’état des lieux, sombre et confus, laisse planer un doute sérieux sur la capacité actuelle du comité à atteindre les objectifs annoncés lors de la dernière assemblée générale. Dans ce climat, les fans sont privés d’informations fiables, alors même que l’équipe traverse une période de changements radicaux.
Un point de presse devient indispensable : il permettrait de renforcer la communication avec les médias, de présenter une image positive de l’équipe et d’aborder des sujets essentiels tels que l’évaluation des dernières rencontres, la situation financière, les problèmes d’arbitrage, la prochaine concentration de l équipe à Oujda , le licenciement de certains joueurs et le recrutement de nouveaux joueurs capables d’ajouter un plus à l’équipe ainsi que la vision du club pour l’avenir.
Le temps du silence est révolu. Il est grand temps que les responsables du KACM prennent la parole et éclairent enfin les supporters sur ce qui se trame au sein d’un club qui fait partie intégrante du cœur de la ville ocre.
À bon entendeur…Salut!



















