En visite au Maroc, la délégation enchaîne les réunions avec les autorités marocaines afin d’explorer les perspectives d’une future coopération avec le Maroc en matière d'infrastructure. Cette agence gouvernementale offre ses services en matière d’accompagnement dans les projets d'infrastructure dans plusieurs secteurs, à savoir les chemins de fer, les écoles, les hôpitaux, les logements, la défense, à l’informatique ainsi que les grands programmes de transformation.
Depuis le 19 février, les membres de la délégation ont eu plusieurs entretiens avec les organes gouvernementaux impliqués dans les projets d’infrastructures, dont le ministère des Finances, la Trésorerie du Royaume, le ministère de la Santé ainsi que l’ONCF. L’objectif est de mieux comprendre les priorités et les défis du pays et à identifier les opportunités pour le développement d'infrastructures abordables, durables et socialement inclusives. “Les discussions étaient très positives. Nous sommes impressionnés du potentiel du secteur public marocain et de l’énorme progrès réalisé en termes de projets”, nous explique le directeur adjoint du département international de l'API, Javier Encinas, qui nous a reçus, mercredi, à l’Ambassade britannique.
“Nous explorons les moyens de travailler étroitement avec le gouvernement marocain, je précise qu’on va signer une déclaration d’intention avec le ministère des Finances à ce sujet”, poursuit notre interlocuteur, ajoutant que l’API espère nouer une relation institutionnelle entre l’Agence et le gouvernement marocain.
Concrètement parlant, tout projet de coopération consiste à aboutir à un accompagnement du Royaume dans les projets d’infrastructures à travers le partage d’expertise, des formations, des supports techniques.
Selon notre interlocuteur, le soutien financier est également à l’ordre du jour. “Encore faut-il l'encadrer et en déterminer les modalités. Cela fait l’objet de discussions actuellement”, nuance-t-il.
Concernant la Coupe du Monde 2030, l’Agence est disposée à offrir ses services au Royaume à l’instar de ce qu’elle a fait avec plusieurs de pays, dont l'Afrique du Sud. Interrogé sur ce point, Javier Encinas se dit convaincu qu’il y a de l’appétit à la fois de la part du Maroc et du Royaume-Uni pour parvenir à une coopération fructueuse, conclut notre interlocuteur.
Lors d’un atelier de 3 jours, organisé depuis mercredi et qui prendra fin vendredi, en coordination avec le ministère des Finances, l’API a partagé son expérience de 20 ans et exposé les meilleures pratiques britanniques pour attirer les capitaux et l'expertise du secteur privé vers le secteur public.
À travers les discussions menées avec les autorités marocaines, l’API aspire à établir une stratégie à long terme pour le développement des infrastructures au Maroc.
Pour rappel, l'API a collaboré avec plus de 50 gouvernements dans le monde. Ils sont membres du Centre européen d'expertise en PPP et entretiennent des relations étroites avec des organismes réputés tels que la Banque mondiale, le Bureau des Nations Unies pour les services de projets (UNOPS) et l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Au Royaume-Uni, l'API joue un rôle central en soutenant la réussite de divers projets majeurs, allant des chemins de fer, des écoles, des hôpitaux et des logements à la défense et à l'informatique.
Depuis le 19 février, les membres de la délégation ont eu plusieurs entretiens avec les organes gouvernementaux impliqués dans les projets d’infrastructures, dont le ministère des Finances, la Trésorerie du Royaume, le ministère de la Santé ainsi que l’ONCF. L’objectif est de mieux comprendre les priorités et les défis du pays et à identifier les opportunités pour le développement d'infrastructures abordables, durables et socialement inclusives. “Les discussions étaient très positives. Nous sommes impressionnés du potentiel du secteur public marocain et de l’énorme progrès réalisé en termes de projets”, nous explique le directeur adjoint du département international de l'API, Javier Encinas, qui nous a reçus, mercredi, à l’Ambassade britannique.
“Nous explorons les moyens de travailler étroitement avec le gouvernement marocain, je précise qu’on va signer une déclaration d’intention avec le ministère des Finances à ce sujet”, poursuit notre interlocuteur, ajoutant que l’API espère nouer une relation institutionnelle entre l’Agence et le gouvernement marocain.
Concrètement parlant, tout projet de coopération consiste à aboutir à un accompagnement du Royaume dans les projets d’infrastructures à travers le partage d’expertise, des formations, des supports techniques.
Selon notre interlocuteur, le soutien financier est également à l’ordre du jour. “Encore faut-il l'encadrer et en déterminer les modalités. Cela fait l’objet de discussions actuellement”, nuance-t-il.
Concernant la Coupe du Monde 2030, l’Agence est disposée à offrir ses services au Royaume à l’instar de ce qu’elle a fait avec plusieurs de pays, dont l'Afrique du Sud. Interrogé sur ce point, Javier Encinas se dit convaincu qu’il y a de l’appétit à la fois de la part du Maroc et du Royaume-Uni pour parvenir à une coopération fructueuse, conclut notre interlocuteur.
Lors d’un atelier de 3 jours, organisé depuis mercredi et qui prendra fin vendredi, en coordination avec le ministère des Finances, l’API a partagé son expérience de 20 ans et exposé les meilleures pratiques britanniques pour attirer les capitaux et l'expertise du secteur privé vers le secteur public.
À travers les discussions menées avec les autorités marocaines, l’API aspire à établir une stratégie à long terme pour le développement des infrastructures au Maroc.
Pour rappel, l'API a collaboré avec plus de 50 gouvernements dans le monde. Ils sont membres du Centre européen d'expertise en PPP et entretiennent des relations étroites avec des organismes réputés tels que la Banque mondiale, le Bureau des Nations Unies pour les services de projets (UNOPS) et l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE). Au Royaume-Uni, l'API joue un rôle central en soutenant la réussite de divers projets majeurs, allant des chemins de fer, des écoles, des hôpitaux et des logements à la défense et à l'informatique.