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-Selon votre expérience sur le terrain, comment pourrait-on concrétiser, dans les meilleurs délais possibles, les acquis et recommandations du 1er colloque de la Femme, de la Famille et du pari du Développement ?
Suite au discours de la fête du Trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, le ministère de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille contribue, en étroite collaboration avec les autres membres du gouvernement, à la déclinaison des directives de Sa Majesté, concernant la promotion des droits des femmes et de la famille. Nous avons, donc, organisé ce premier colloque sur cette thématique pour passer au crible le pari du développement. Le but de ce premier colloque est d’écouter toutes les propositions des différents acteurs, à commencer par les départements ministériels, les Conseils constitutionnels, les institutions nationales, les organisations féminines des partis politiques, la société civile et tous les acteurs concernés, y compris les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux internationaux. Écouter tout le monde afin de recenser toutes les propositions et essayer d’identifier les axes qui préoccupent les Marocains. Nous avons aussi consolidé ce débat par la présentation des résultats de la consultation citoyenne effectuée par le Conseil Economique, Social et Environnemental, dans le cadre d’une collaboration avec le ministère de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille. Tout cela a permis d’identifier trois axes : celui de la Famille, comme espace qui pourrait être exploité pour promouvoir l’égalité, les droits des femmes, la culture de la responsabilité et la culture du respect de la femme. Le deuxième axe porte sur la nécessité d’assurer un environnement protecteur pour les femmes afin de lutter contre les violences et discriminations visant la gent féminine et lutter contre le mariage des mineurs ; le troisième axe, qui n’est pas des moindres, reste l’autonomisation dans le sens large du terme, c’est-à-dire l’autonomisation culturelle, économique, sociale, etc. Ces axes ne sont pas les seuls que notre ministère doit revoir, mais il s’agit des axes que les principaux intervenants lors du colloque ont jugé prioritaires.
-Comment pourrait-on généraliser ces recommandations sur toutes les régions du Royaume ?
Il faut consolider les propositions qui étaient déjà venues des départements ministériels qu’on avait recueillies dans le cadre de la commission de préparation de la première réunion de la Commission nationale de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de la femme, qui a fait l’objet du Conseil de gouvernement du mois de juin 2022. Nous (départements ministériels) sommes en train de préparer la tenue de cette commission qui est présidée par monsieur le Chef du gouvernement et est composée du département ministériel, des acteurs privés, des représentants des différents Conseils, régions, provinces et communes, de la société civile, ainsi que tous les acteurs concernés par cette question. Le débat aura lieu à plus large échelle, et ce, au niveau de toutes les régions du Maroc.
- Quelles sont vos attentes du prochain colloque de la Femme, de la Famille et du pari du Développement ?
Nous espérons réussir le challenge de la première commission de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de la femme et qu’on aurait adopté le plan gouvernemental de l’égalité en mettant en pratique ses recommandations. Nous allons commencer, prochainement, à décliner ses actions par les différents départements de tutelle. Ainsi, le gouvernement, les élus locaux, la société civile et tous les autres acteurs qui se sentent concernés par le sujet pourront mettre en application les conclusions du 1er Colloque national de la Femme, la Famille et du pari de Développement.
Suite au discours de la fête du Trône de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu l’assiste, le ministère de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille contribue, en étroite collaboration avec les autres membres du gouvernement, à la déclinaison des directives de Sa Majesté, concernant la promotion des droits des femmes et de la famille. Nous avons, donc, organisé ce premier colloque sur cette thématique pour passer au crible le pari du développement. Le but de ce premier colloque est d’écouter toutes les propositions des différents acteurs, à commencer par les départements ministériels, les Conseils constitutionnels, les institutions nationales, les organisations féminines des partis politiques, la société civile et tous les acteurs concernés, y compris les organismes gouvernementaux et non gouvernementaux internationaux. Écouter tout le monde afin de recenser toutes les propositions et essayer d’identifier les axes qui préoccupent les Marocains. Nous avons aussi consolidé ce débat par la présentation des résultats de la consultation citoyenne effectuée par le Conseil Economique, Social et Environnemental, dans le cadre d’une collaboration avec le ministère de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille. Tout cela a permis d’identifier trois axes : celui de la Famille, comme espace qui pourrait être exploité pour promouvoir l’égalité, les droits des femmes, la culture de la responsabilité et la culture du respect de la femme. Le deuxième axe porte sur la nécessité d’assurer un environnement protecteur pour les femmes afin de lutter contre les violences et discriminations visant la gent féminine et lutter contre le mariage des mineurs ; le troisième axe, qui n’est pas des moindres, reste l’autonomisation dans le sens large du terme, c’est-à-dire l’autonomisation culturelle, économique, sociale, etc. Ces axes ne sont pas les seuls que notre ministère doit revoir, mais il s’agit des axes que les principaux intervenants lors du colloque ont jugé prioritaires.
-Comment pourrait-on généraliser ces recommandations sur toutes les régions du Royaume ?
Il faut consolider les propositions qui étaient déjà venues des départements ministériels qu’on avait recueillies dans le cadre de la commission de préparation de la première réunion de la Commission nationale de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de la femme, qui a fait l’objet du Conseil de gouvernement du mois de juin 2022. Nous (départements ministériels) sommes en train de préparer la tenue de cette commission qui est présidée par monsieur le Chef du gouvernement et est composée du département ministériel, des acteurs privés, des représentants des différents Conseils, régions, provinces et communes, de la société civile, ainsi que tous les acteurs concernés par cette question. Le débat aura lieu à plus large échelle, et ce, au niveau de toutes les régions du Maroc.
- Quelles sont vos attentes du prochain colloque de la Femme, de la Famille et du pari du Développement ?
Nous espérons réussir le challenge de la première commission de l’égalité des sexes et de l’autonomisation de la femme et qu’on aurait adopté le plan gouvernemental de l’égalité en mettant en pratique ses recommandations. Nous allons commencer, prochainement, à décliner ses actions par les différents départements de tutelle. Ainsi, le gouvernement, les élus locaux, la société civile et tous les autres acteurs qui se sentent concernés par le sujet pourront mettre en application les conclusions du 1er Colloque national de la Femme, la Famille et du pari de Développement.
