
Un an de prison attend Mustafa Aberchan, Hassan Mohatar, Rachid Bussian et Ahmed Mohamed. Ces derniers, dont certains sont connus des services de police espagnole, ont introduit 11 moutons à Melilla après s’être enchaînés à la camionnette qui les transportait du Maroc, a souligné Moncola.
Le média espagnol a expliqué que les accusés ont été dénoncés à l’Assemblée de la ville, ajoutant que le parquet a exigé qu'ils soient condamnés pour un crime de résistance grave contre les autorités.
« Le parquet requiert un an de prison et la disqualification de l'ancien président de Melilla, Mustafa Aberchan et de trois conseillers du gouvernement de Melilla, Hassan Mohatar, Rachid Bussian et Ahmed Mohamed », a-t-il indiqué.
Les accusés ont été dénoncés à l’Assemblée de la ville, a fait savoir Moncola, notant que le parquet a exigé qu'ils soient condamnés pour un crime de résistance grave contre les autorités.
En ce qui concerne Aberchan, ancien président de la ville, la situation s’aggrave puisqu'il a déjà fait l’objet de condamnations antérieures, auxquelles s'ajoute cette nouvelle, a-t-il révélé.
De son côté, Hassan Mohatar a été accusé d'avoir accordé une subvention pour son conseiller adjoint, tandis qu’Ahmed Mohamed est poursuivi pour avoir mis en place irrégulièrement un centre pour mineurs non accompagnés pendant l’état d’urgence sanitaire, a indiqué la même source.
Le média espagnol a expliqué que les accusés ont été dénoncés à l’Assemblée de la ville, ajoutant que le parquet a exigé qu'ils soient condamnés pour un crime de résistance grave contre les autorités.
« Le parquet requiert un an de prison et la disqualification de l'ancien président de Melilla, Mustafa Aberchan et de trois conseillers du gouvernement de Melilla, Hassan Mohatar, Rachid Bussian et Ahmed Mohamed », a-t-il indiqué.
Les accusés ont été dénoncés à l’Assemblée de la ville, a fait savoir Moncola, notant que le parquet a exigé qu'ils soient condamnés pour un crime de résistance grave contre les autorités.
En ce qui concerne Aberchan, ancien président de la ville, la situation s’aggrave puisqu'il a déjà fait l’objet de condamnations antérieures, auxquelles s'ajoute cette nouvelle, a-t-il révélé.
De son côté, Hassan Mohatar a été accusé d'avoir accordé une subvention pour son conseiller adjoint, tandis qu’Ahmed Mohamed est poursuivi pour avoir mis en place irrégulièrement un centre pour mineurs non accompagnés pendant l’état d’urgence sanitaire, a indiqué la même source.