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Ces contrats-objectifs, signés dans le cadre d’un partenariat public-privé avec 8 Centres Techniques, s’assignent comme but de renforcer les capacités des Centres Techniques Industriels et leur permettre d'être en phase avec le développement du tissu industriel marocain.
250 millions de dirhams (MDH), telle est l’enveloppe budgétaire mobilisée pour ces 8 Centres techniques sur une période qui s’étale sur quatre ans.
L’objectif étant l’appui du rôle de ces centres dans l’accompagnement technique et technologique des entreprises et le développement de prestations relatives à l'innovation et à l'amélioration technique et technologique, ainsi que les prestations liées aux normes et à la certification « produit ». Dans le même sens, ce partenariat permettra l’appui à l'amorçage des CTI en phase de relance de leurs activités et la mise en place de nouveaux laboratoires/plateformes dédiés à l’accompagnement de nouvelles activités industrielles s’inscrivant dans le cadre de la souveraineté industrielle, alimentaire et sanitaire.
À cette occasion, Ryad Mezzour a affirmé que ces Centres sont des « institutions incontournables dans le développement de l'économie nationale et la création de nouvelles opportunités d'emplois, à travers notamment leur contribution au renforcement de la productivité, de la qualité et de l'innovation, et à l’amélioration de la compétitivité des industriels marocains ».
De son côté, David Toledano, président du Réseau des Centres Techniques Industriels Marocains (RECTIM) et président de la Fédération des Industries des Matériaux de Construction, a qualifié la signature de ces contrats de « tournant important » dans l’industrie marocaine, d’autant plus que ces centres constituent un fer de lance des infrastructures technologiques au Maroc.
Ce partenariat prévoit ainsi, à l’horizon 2026, un investissement de 300 Mdhs en équipements pour renforcer la capacité des laboratoires des CTI et mettre en place de nouvelles plateformes techniques. Ces contrats contribueront également à une augmentation de 165% des entreprises bénéficiaires des services des CTI, une augmentation de près de 100% des collaborateurs et de plus de 156% du chiffre d’affaires global.
250 millions de dirhams (MDH), telle est l’enveloppe budgétaire mobilisée pour ces 8 Centres techniques sur une période qui s’étale sur quatre ans.
L’objectif étant l’appui du rôle de ces centres dans l’accompagnement technique et technologique des entreprises et le développement de prestations relatives à l'innovation et à l'amélioration technique et technologique, ainsi que les prestations liées aux normes et à la certification « produit ». Dans le même sens, ce partenariat permettra l’appui à l'amorçage des CTI en phase de relance de leurs activités et la mise en place de nouveaux laboratoires/plateformes dédiés à l’accompagnement de nouvelles activités industrielles s’inscrivant dans le cadre de la souveraineté industrielle, alimentaire et sanitaire.
À cette occasion, Ryad Mezzour a affirmé que ces Centres sont des « institutions incontournables dans le développement de l'économie nationale et la création de nouvelles opportunités d'emplois, à travers notamment leur contribution au renforcement de la productivité, de la qualité et de l'innovation, et à l’amélioration de la compétitivité des industriels marocains ».
De son côté, David Toledano, président du Réseau des Centres Techniques Industriels Marocains (RECTIM) et président de la Fédération des Industries des Matériaux de Construction, a qualifié la signature de ces contrats de « tournant important » dans l’industrie marocaine, d’autant plus que ces centres constituent un fer de lance des infrastructures technologiques au Maroc.
Ce partenariat prévoit ainsi, à l’horizon 2026, un investissement de 300 Mdhs en équipements pour renforcer la capacité des laboratoires des CTI et mettre en place de nouvelles plateformes techniques. Ces contrats contribueront également à une augmentation de 165% des entreprises bénéficiaires des services des CTI, une augmentation de près de 100% des collaborateurs et de plus de 156% du chiffre d’affaires global.
