R aúl Muñiz, président de l’Association Interprofessionnelle de la Viande Ovine et Caprine (INTEROVIC), a profité de l’événement pour demander la suppression des droits de douane sur la commercialisation de la viande ovine et caprine.
L’événement a été ouvert par le secrétaire du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, qui, a ensuite cédé la parole au responsable de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation de l’ambassade d’Espagne au Maroc.
Il a souligné le caractère historique de cette première réunion, estimant qu’il s’agit d’un forum exceptionnel pour jeter les bases de futures relations, par exemple en matière de transfert de technologie ou d’échanges de viande ovine et caprine entre l’Espagne et le Maroc.
Pour sa part, Raúl Muñiz, président de l’INTEROVIC, a présenté aux participants le potentiel des exportations espagnoles en matière de viande ovine et caprine, en soulignant la présence du produit dans plus de 70 pays, et en précisant que le deuxième marché en volume est représenté par les pays du Golfe, auxquels un produit de qualité supérieure est offert avec les garanties halal correspondantes.
«Pour l’Espagne, le Maroc est l’un des principaux marchés cibles pour l’exportation de notre viande, en raison de sa proximité, des racines communes entre les deux pays, mais aussi des excellentes relations commerciales qui existent avec le Maroc», a souligné M. Muñiz.
Enfin, le président d’INTEROVIC a demandé aux responsables du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts d’étudier la possibilité d’éliminer les droits de douane qui entravent actuellement le commerce de la viande ovine et caprine.
La journée s’est poursuivie par plusieurs présentations techniques au cours desquelles le système marocain de production ovine et caprine a été présenté.
Cette réunion a eu lieu alors qu’en décembre le ministère de l’Agriculture a mobilisé l’ensemble des acteurs de la chaîne de la viande rouge, en particulier la Fédération des chaînes de viande rouge et les importateurs de bovins, qui ont entamé l’importation de bétail destiné à l’abattage, sous réserve d’obtenir des licences du ministère et de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA).
Les intervenants de l’industrie des viandes rouges ont dialogué avec le ministère de l’Agriculture pour discuter des mesures préventives face à la sécheresse persistante au Maroc depuis cinq ans.
L’événement a été ouvert par le secrétaire du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, qui, a ensuite cédé la parole au responsable de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation de l’ambassade d’Espagne au Maroc.
Il a souligné le caractère historique de cette première réunion, estimant qu’il s’agit d’un forum exceptionnel pour jeter les bases de futures relations, par exemple en matière de transfert de technologie ou d’échanges de viande ovine et caprine entre l’Espagne et le Maroc.
Pour sa part, Raúl Muñiz, président de l’INTEROVIC, a présenté aux participants le potentiel des exportations espagnoles en matière de viande ovine et caprine, en soulignant la présence du produit dans plus de 70 pays, et en précisant que le deuxième marché en volume est représenté par les pays du Golfe, auxquels un produit de qualité supérieure est offert avec les garanties halal correspondantes.
«Pour l’Espagne, le Maroc est l’un des principaux marchés cibles pour l’exportation de notre viande, en raison de sa proximité, des racines communes entre les deux pays, mais aussi des excellentes relations commerciales qui existent avec le Maroc», a souligné M. Muñiz.
Enfin, le président d’INTEROVIC a demandé aux responsables du ministère de l’Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts d’étudier la possibilité d’éliminer les droits de douane qui entravent actuellement le commerce de la viande ovine et caprine.
La journée s’est poursuivie par plusieurs présentations techniques au cours desquelles le système marocain de production ovine et caprine a été présenté.
Cette réunion a eu lieu alors qu’en décembre le ministère de l’Agriculture a mobilisé l’ensemble des acteurs de la chaîne de la viande rouge, en particulier la Fédération des chaînes de viande rouge et les importateurs de bovins, qui ont entamé l’importation de bétail destiné à l’abattage, sous réserve d’obtenir des licences du ministère et de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA).
Les intervenants de l’industrie des viandes rouges ont dialogué avec le ministère de l’Agriculture pour discuter des mesures préventives face à la sécheresse persistante au Maroc depuis cinq ans.