Selon la note introductive du projet de loi de finances, cette mesure répond aux conditions climatiques difficiles que traverse le Maroc, et notamment à la sécheresse persistante qui a affecté négativement la disponibilité des fourrages et entraîné une réduction du cheptel national.
Par ailleurs, la hausse des coûts de production a contribué à une diminution de l’offre en animaux destinés à l’abattage, ce qui a conduit les autorités à prendre des mesures exceptionnelles afin de garantir l’approvisionnement du marché en viande rouge et d’éviter tout déficit d’offre.
Toujours selon la note introductive du projet de loi de finances pour 2026, jusqu’au 12 août 2025, 149 ;802 têtes de bovins domestiques ont été importées, soit 99 % du quota autorisé par la loi de finances 2025. Cette situation a motivé l’augmentation du quota d’importation afin de prévenir toute perturbation de l’approvisionnement du marché dans les mois à venir.
Ces mesures s’inscrivent dans le cadre de la stratégie du Royaume pour développer le secteur de l’élevage à travers des partenariats solides entre l’État et les professionnels. Le secteur a enregistré une croissance notable ces dernières années, avec une production atteignant 600 000 tonnes de viande rouge en 2020, soit 90 % des objectifs fixés par le plan.
D’autre part, la loi confère au gouvernement la faculté de modifier ou de suspendre la perception des droits de douane et des taxes intérieures à la consommation (à l’exception de la TVA) sur les importations et les exportations, conformément au Code des douanes et des taxes indirectes. Cette prérogative a été utilisée pour renforcer les mesures préventives visant à assurer la stabilité des marchés stratégiques.
Par ailleurs, la hausse des coûts de production a contribué à une diminution de l’offre en animaux destinés à l’abattage, ce qui a conduit les autorités à prendre des mesures exceptionnelles afin de garantir l’approvisionnement du marché en viande rouge et d’éviter tout déficit d’offre.
Toujours selon la note introductive du projet de loi de finances pour 2026, jusqu’au 12 août 2025, 149 ;802 têtes de bovins domestiques ont été importées, soit 99 % du quota autorisé par la loi de finances 2025. Cette situation a motivé l’augmentation du quota d’importation afin de prévenir toute perturbation de l’approvisionnement du marché dans les mois à venir.
Ces mesures s’inscrivent dans le cadre de la stratégie du Royaume pour développer le secteur de l’élevage à travers des partenariats solides entre l’État et les professionnels. Le secteur a enregistré une croissance notable ces dernières années, avec une production atteignant 600 000 tonnes de viande rouge en 2020, soit 90 % des objectifs fixés par le plan.
D’autre part, la loi confère au gouvernement la faculté de modifier ou de suspendre la perception des droits de douane et des taxes intérieures à la consommation (à l’exception de la TVA) sur les importations et les exportations, conformément au Code des douanes et des taxes indirectes. Cette prérogative a été utilisée pour renforcer les mesures préventives visant à assurer la stabilité des marchés stratégiques.