S’exprimant à l’ouverture d'une conférence internationale de haut niveau dédiée au tourisme durable, organisée sous le thème "Quelles perspectives pour le tourisme vert ?", le ministre a souligné que ce rendez-vous constitue un appel à l’ensemble des acteurs du secteur pour unir leurs efforts en faveur de l’émergence d’un tourisme responsable, garant véritable de la pérennité et du développement de cette activité stratégique.
Le responsable gouvernemental a rappelé que la durabilité suppose de prendre en compte les impacts économiques, sociaux et environnementaux actuels et futurs, tout en répondant aux besoins des visiteurs, des professionnels, des communautés locales et des écosystèmes.
Dans ce sens, il a insisté sur la rationalisation de l’utilisation des ressources, la protection de la biodiversité, la réduction des émissions polluantes et la promotion de modes de production et de consommation respectueux de l’environnement.
Abordant la question cruciale de l’eau, le ministre a rappelé que la consommation en ressources hydriques connaît une forte hausse dans l’industrie touristique, dans un contexte de stress hydrique aigu, ajoutant que la préservation de l’eau constitue un défi national nécessitant la mobilisation de tous les acteurs, citant notamment des solutions telles que le dessalement de l’eau, la réutilisation des eaux usées traitées et l’adoption de technologies privilégiant l’économie d’eau.
Le ministre a par ailleurs insisté sur le rôle transversal du secteur touristique, dont le développement reste tributaire des partenariats publics et privés, du financement des infrastructures, de l’échange d’expertises et de la coordination entre les différents niveaux de gouvernance, de la conception à l’évaluation des projets.
En évoquant les expériences marocaines, le ministre a mis en lumière le programme de développement intégré du Parc national d’Ifrane, doté d’une enveloppe globale de 734 millions de dirhams, dont 641 millions financés par l’État. Ce programme vise à valoriser les écosystèmes de ce site emblématique et à stimuler l’investissement touristique, avec des retombées positives sur le développement socio-économique de la région.
Il a également cité, à titre d’exemple, la réalisation de la route provinciale n°7217 reliant la route nationale n°8 à Aïn Louh, traversant des sites naturels d’exception tels que la cédraie de Gouraud et le lac d’Afennourir, pour un coût de 60 millions de dirhams, précisant que l’appel d’offres devrait être lancé avant la fin de l’année 2025.
Organisée par la Société Marocaine de l’Ingénierie Touristique (SMIT), en partenariat avec le Centre Régional d’Investissement (CRI) de Fès-Meknès et l’Agence Nationale des Eaux et Forêts (ANEF), cette conférence internationale a réuni plus de 150 participants, experts, investisseurs, et opérateurs. En créant un espace de dialogue public-privé, elle a mis en lumière la volonté du Maroc d’accélérer la transition vers un modèle touristique plus équilibré, inclusif et durable.
Le responsable gouvernemental a rappelé que la durabilité suppose de prendre en compte les impacts économiques, sociaux et environnementaux actuels et futurs, tout en répondant aux besoins des visiteurs, des professionnels, des communautés locales et des écosystèmes.
Dans ce sens, il a insisté sur la rationalisation de l’utilisation des ressources, la protection de la biodiversité, la réduction des émissions polluantes et la promotion de modes de production et de consommation respectueux de l’environnement.
Abordant la question cruciale de l’eau, le ministre a rappelé que la consommation en ressources hydriques connaît une forte hausse dans l’industrie touristique, dans un contexte de stress hydrique aigu, ajoutant que la préservation de l’eau constitue un défi national nécessitant la mobilisation de tous les acteurs, citant notamment des solutions telles que le dessalement de l’eau, la réutilisation des eaux usées traitées et l’adoption de technologies privilégiant l’économie d’eau.
Le ministre a par ailleurs insisté sur le rôle transversal du secteur touristique, dont le développement reste tributaire des partenariats publics et privés, du financement des infrastructures, de l’échange d’expertises et de la coordination entre les différents niveaux de gouvernance, de la conception à l’évaluation des projets.
En évoquant les expériences marocaines, le ministre a mis en lumière le programme de développement intégré du Parc national d’Ifrane, doté d’une enveloppe globale de 734 millions de dirhams, dont 641 millions financés par l’État. Ce programme vise à valoriser les écosystèmes de ce site emblématique et à stimuler l’investissement touristique, avec des retombées positives sur le développement socio-économique de la région.
Il a également cité, à titre d’exemple, la réalisation de la route provinciale n°7217 reliant la route nationale n°8 à Aïn Louh, traversant des sites naturels d’exception tels que la cédraie de Gouraud et le lac d’Afennourir, pour un coût de 60 millions de dirhams, précisant que l’appel d’offres devrait être lancé avant la fin de l’année 2025.
Organisée par la Société Marocaine de l’Ingénierie Touristique (SMIT), en partenariat avec le Centre Régional d’Investissement (CRI) de Fès-Meknès et l’Agence Nationale des Eaux et Forêts (ANEF), cette conférence internationale a réuni plus de 150 participants, experts, investisseurs, et opérateurs. En créant un espace de dialogue public-privé, elle a mis en lumière la volonté du Maroc d’accélérer la transition vers un modèle touristique plus équilibré, inclusif et durable.
