Cette performance découle principalement des activités non agricoles, qui ont progressé de 2,1%, et du secteur agricole, qui a enregistré une hausse de 6,3%. Selon le HCP, malgré une inflation persistante, l'économie nationale a renforcé sa capacité de financement, principalement grâce à la demande extérieure.
Après avoir connu une chute significative de 13,5% au deuxième trimestre 2022, la valeur ajoutée du secteur primaire a rebondi de manière impressionnante avec une croissance de 6% au cours du même trimestre en 2023. Cette reprise s'explique, selon la même source, en grande partie par la croissance de l'agriculture, qui a augmenté de 6,3%, comparé à une baisse de 13,5% l'année précédente. De plus, la pêche a également contribué à cette amélioration en enregistrant une hausse de 0,5%, à l'inverse de la baisse de 14,6% précédemment observée.
En revanche, le secteur secondaire a connu une légère contraction de 2,8%, principalement due à la diminution de la valeur ajoutée dans plusieurs domaines, notamment l'industrie d'extraction, le bâtiment et les travaux publics, ainsi que les industries de transformation. Seule l'industrie de l'électricité et de l'eau a enregistré une légère hausse de 1,4%.
Le secteur tertiaire a également ralenti sa croissance, passant de 6,2% au même trimestre de l'année précédente à 4,4%. Ce ralentissement est principalement attribuable à la baisse de certaines activités, notamment dans l'hébergement et la restauration, le transport et l'entreposage, ainsi que les services de l'éducation, de la santé et de l'action sociale.
Après avoir connu une chute significative de 13,5% au deuxième trimestre 2022, la valeur ajoutée du secteur primaire a rebondi de manière impressionnante avec une croissance de 6% au cours du même trimestre en 2023. Cette reprise s'explique, selon la même source, en grande partie par la croissance de l'agriculture, qui a augmenté de 6,3%, comparé à une baisse de 13,5% l'année précédente. De plus, la pêche a également contribué à cette amélioration en enregistrant une hausse de 0,5%, à l'inverse de la baisse de 14,6% précédemment observée.
En revanche, le secteur secondaire a connu une légère contraction de 2,8%, principalement due à la diminution de la valeur ajoutée dans plusieurs domaines, notamment l'industrie d'extraction, le bâtiment et les travaux publics, ainsi que les industries de transformation. Seule l'industrie de l'électricité et de l'eau a enregistré une légère hausse de 1,4%.
Le secteur tertiaire a également ralenti sa croissance, passant de 6,2% au même trimestre de l'année précédente à 4,4%. Ce ralentissement est principalement attribuable à la baisse de certaines activités, notamment dans l'hébergement et la restauration, le transport et l'entreposage, ainsi que les services de l'éducation, de la santé et de l'action sociale.
Demande intérieure en légère baisse
La demande intérieure a continué de reculer, affichant une baisse de 0,2% au deuxième trimestre 2023, exerçant ainsi une pression négative sur la croissance économique nationale. L'investissement brut a également enregistré un repli de 3,1%, tandis que les dépenses de consommation finale des ménages ont augmenté de manière modeste, de 0,4%, et celles des administrations publiques de 3,1%.
Contribution positive des échanges extérieurs
Les échanges extérieurs de biens et services ont apporté une contribution positive à la croissance, avec une hausse des exportations de 6,5% et des importations de 1%. Cependant, cette contribution est légèrement moins importante que celle de la même période de l'année précédente.
Amélioration de la capacité de financement
Avec une hausse du PIB aux prix courants de 6,8% et une augmentation des revenus nets reçus du reste du monde de 1,2%, le revenu national brut disponible a progressé de 6,4% au deuxième trimestre 2023. Malgré une légère baisse de la consommation finale nationale, l'épargne nationale s'est maintenue à 29,5% du PIB, tandis que l'investissement brut a représenté 27,9% du PIB. Cela a généré une capacité de financement de 1,5% du PIB au deuxième trimestre 2023, marquant une nette amélioration par rapport au besoin de financement de 5,2% du PIB à la même période de l'année précédente.
