Soutenue par l’Agence Française de Développement et la Fondation du sport français, cette initiative lancée en 2024 réunit six pays : Maroc, Tunisie, Sénégal, Côte d’Ivoire, Cameroun et Bénin, autour d’un objectif clair : doter les fédérations de handball, volley-ball et basket-ball d’outils modernes et d’une gouvernance renouvelée.
Avec un financement de 2,5 millions d’euros, HAVOBA avance à un rythme soutenu. Plus de 450 cadres ont déjà été formés en 2025 à des thématiques désormais centrales dans le sport : management fédéral, leadership féminin, digitalisation des compétitions, éthique arbitrale et articulation entre sport scolaire et sport de club. Une plateforme numérique et des outils pédagogiques sont en préparation, tandis que des rénovations ciblées d’infrastructures sont programmées.
Mercredi dernier, Marrakech a accueilli l’une des séquences marquantes du programme : une table ronde dédiée au renforcement des compétences et à la place des jeunes filles dans les disciplines collectives.
Avec un financement de 2,5 millions d’euros, HAVOBA avance à un rythme soutenu. Plus de 450 cadres ont déjà été formés en 2025 à des thématiques désormais centrales dans le sport : management fédéral, leadership féminin, digitalisation des compétitions, éthique arbitrale et articulation entre sport scolaire et sport de club. Une plateforme numérique et des outils pédagogiques sont en préparation, tandis que des rénovations ciblées d’infrastructures sont programmées.
Mercredi dernier, Marrakech a accueilli l’une des séquences marquantes du programme : une table ronde dédiée au renforcement des compétences et à la place des jeunes filles dans les disciplines collectives.
Abdeslam Mili, directeur de la promotion du sport scolaire au ministère de l’Éducation nationale, y a défendu une vision nationale axée sur la féminisation et la structuration des parcours sportifs dès l’école.
Même son de cloche du côté de la Fédération Royale Marocaine de Volley-ball. Son secrétaire général, Fahd Ouazzani, voit dans HAVOBA « un modèle réussi de coopération internationale » et un levier pour accélérer la féminisation du volley-ball marocain.
Pour Bertrand Leys, directeur technique national adjoint de la Fédération française de volley-ball, le programme se distingue par son approche globale : formation des entraîneurs, développement de l’arbitrage, digitalisation et montée en compétence des équipes dirigeantes.
Autant de leviers destinés à inscrire durablement les fédérations africaines dans les standards contemporains.
Même son de cloche du côté de la Fédération Royale Marocaine de Volley-ball. Son secrétaire général, Fahd Ouazzani, voit dans HAVOBA « un modèle réussi de coopération internationale » et un levier pour accélérer la féminisation du volley-ball marocain.
Pour Bertrand Leys, directeur technique national adjoint de la Fédération française de volley-ball, le programme se distingue par son approche globale : formation des entraîneurs, développement de l’arbitrage, digitalisation et montée en compétence des équipes dirigeantes.
Autant de leviers destinés à inscrire durablement les fédérations africaines dans les standards contemporains.
Figure centrale du projet, Bouchra Hajij, présidente de la CAVB et de la FRMVB, insiste sur l’enjeu structurel du leadership féminin.
Selon elle, les formations organisées dans le cadre d’HAVOBA constituent « un levier essentiel pour moderniser les fédérations africaines », en permettant aux femmes d’accéder autant aux terrains qu’aux postes de décision.
La participation marocaine à ces dispositifs est déjà notable : quinze cadres entraîneurs, dirigeants et arbitres ont été formés cette année, comme le souligne Hamid Abdellaoui, responsable des équipes nationales.
Cette démarche s’inscrit dans la perspective du projet 2026, qui vise une montée en compétence régionale et un renforcement de l’encadrement des catégories juniors.
En combinant diplomatie sportive, modernisation institutionnelle et empowerment féminin, HAVOBA façonne un nouvel écosystème sportif africain, plus inclusif et mieux préparé aux défis du continent. Une dynamique appelée à s’amplifier dans les prochaines années.
Selon elle, les formations organisées dans le cadre d’HAVOBA constituent « un levier essentiel pour moderniser les fédérations africaines », en permettant aux femmes d’accéder autant aux terrains qu’aux postes de décision.
La participation marocaine à ces dispositifs est déjà notable : quinze cadres entraîneurs, dirigeants et arbitres ont été formés cette année, comme le souligne Hamid Abdellaoui, responsable des équipes nationales.
Cette démarche s’inscrit dans la perspective du projet 2026, qui vise une montée en compétence régionale et un renforcement de l’encadrement des catégories juniors.
En combinant diplomatie sportive, modernisation institutionnelle et empowerment féminin, HAVOBA façonne un nouvel écosystème sportif africain, plus inclusif et mieux préparé aux défis du continent. Une dynamique appelée à s’amplifier dans les prochaines années.























