Interrogé sur les résultats du dialogue social, en cours dans le secteur de la Justice, Ouahbi a souligné l'importance des 21 sessions de dialogue tenues jusqu'à présent avec les syndicats. Il a salué le rôle crucial de ces derniers en tant que partenaires du ministère, indiquant même qu'ils sont impliqués dans la gestion de certaines affaires sectorielles.
Le ministre a tenu à souligner la continuité du dialogue avec les syndicats de la Justice, assurant qu'il maintiendra toujours la porte de son bureau ouverte à ces discussions. Il a exprimé sa volonté de dialoguer exclusivement avec les représentants syndicaux, tout en reconnaissant le droit des employés de manifester.
Dans une perspective de résolution, Ouahbi a promis des entretiens avec les employés pour examiner et traiter leurs préoccupations, dans la mesure du possible pour le ministère. Cependant, il a souligné que si les solutions ne sont pas atteintes, il portera la question devant le gouvernement pour des actions supplémentaires.
À noter que le Syndicat démocratique de la justice a déjà planifié un programme de protestation, prévoyant le port de badges dès demain mercredi, suivi d'une grève nationale de 24 heures dans tous les tribunaux et centres judiciaires du royaume le 7 février prochain. Les manifestations mettent en lumière les tensions persistantes autour du Statut Unifié des fonctionnaires, lesquelles exigent une attention immédiate et un engagement financier substantiel.
Le ministre a tenu à souligner la continuité du dialogue avec les syndicats de la Justice, assurant qu'il maintiendra toujours la porte de son bureau ouverte à ces discussions. Il a exprimé sa volonté de dialoguer exclusivement avec les représentants syndicaux, tout en reconnaissant le droit des employés de manifester.
Dans une perspective de résolution, Ouahbi a promis des entretiens avec les employés pour examiner et traiter leurs préoccupations, dans la mesure du possible pour le ministère. Cependant, il a souligné que si les solutions ne sont pas atteintes, il portera la question devant le gouvernement pour des actions supplémentaires.
À noter que le Syndicat démocratique de la justice a déjà planifié un programme de protestation, prévoyant le port de badges dès demain mercredi, suivi d'une grève nationale de 24 heures dans tous les tribunaux et centres judiciaires du royaume le 7 février prochain. Les manifestations mettent en lumière les tensions persistantes autour du Statut Unifié des fonctionnaires, lesquelles exigent une attention immédiate et un engagement financier substantiel.